Vue sur la Flandre: des Illégaux autorisés à mener des actions pendant des mois à la VUB et la haine contre des étudiants pour une banderole chipée
Après une intrusion, des immigrés clandestins séjournent désormais sur un campus de l’université VUB depuis plus de 2 mois, au grand désarroi d’une grande partie de la population étudiante. Avec de telles occupations, les immigrés clandestins veulent imposer leur régularisation. Un étudiant s’est emparé des banderoles des illégaux et a publié un message à ce sujet dans un groupe WhatsApp de la N-VA à la VUB. L’affaire a été divulguée sur le site d’information de gauche Apache, suite à quoi cet étudiant a été victime d’une campagne de haine menée par les médias et les politiciens de gauche. Le Vlaams Belang s’oppose à ce déferlement de haine politique. Il considère que le vrai problème n’est pas l’action des étudiants, mais bien le fait que nos universités se montrent incroyablement laxistes pour les actions illégales des immigrés clandestins. Le député flamand Filip Brusselmans (Vlaams Belang) a évoqué l’incident avec le ministre de l’Education Ben Weyts (N-VA).
La VUB envisage d’entamer une procédure disciplinaire, ce qui pourrait même conduire à l’exclusion de l’étudiant. C’est le site Web de gauche Apache qui a pu saisir les messages d’un groupe WhatsApp d’étudiants N-VA de la VUB dans lesquels les bannières chipées étaient affichées. Les grands médias et les partis de gauche ont hurlé au «retour des années les plus sombres de l’histoire». De tout temps, les étudiants se sont livrés à des canulars et des polissonneries de bon et de mauvais goût et à des parties de franche anarchie rigolarde, c’est dans la tradition, rien là qui mérite de fouetter un chat. Il s’agit ici clairement d’un règlement de comptes politique d’un établissement universitaire contre des étudiants de droite qui, selon le rectorat, n’ont pas leur place dans un bastion de gauche comme la VUB. Selon le ministre Weyts, la VUB devrait envisager la proportionnalité nécessaire et ne pas aggraver l’incident, comme cela s’est produit dans les médias.
La présence depuis des mois d’immigrants clandestins à la VUB est le vrai problème
Pour le Vlaams Belang, le ministre Weyts doit interpeller la VUB pour sauvegarder la liberté d’expression et protéger la diversité politique. Il n’est pas acceptable qu’un établissement d’enseignement supérieur tolère l’activisme d’immigrés clandestins et de l’extrême gauche pendant des mois dans ses bâtiments et que d’un autre côté il poursuive les étudiants de droite. Le Vlaams Belang continuera à s’opposer à la politique de tolérance contre l’illégalité à l’université et à l’intimidation contre quiconque a une opinion différente de celle de la gauche.
