Vlaams Belang: «Le gouvernement bruxellois vit sur le compte des autres»

25 Oct 2020 | Nouvelles

La déclaration du gouvernement bruxellois suscite la polémique. Le Vlaams Belang y voit surtout des promesses intenables et une distribution d’argent qui n’existe pas.

Le ministre-président de la Région bruxelloise, Rudi Vervoort (PS), a présenté hier les objectifs politiques pour l’année à venir. C’était aussi l’annonce du budget pluriannuel, fruit d’un an et demi de discussions difficiles.

Pour le Vlaams Belang, cette politique élève la dette en norme de gestion. «Le gouvernement trouve, sans gêne aucune, une excuse facile dans la crise corona pour justifier ses options irresponsables», déclare le Chef de Groupe Dominiek Lootens-Stael (Vlaams Belang). Le gouvernement bruxellois compte sur les navetteurs, l’Etat fédéral et l’Union européenne pour payer ses factures. Pour faire court: ce gouvernement dépense de l’argent dont il ne possède pas le premier centime.

«Les Verts risquent de faire dérailler la crise sanitaire et les finances publiques simplement pour prendre leurs partisans dans le sens du poil»

Dominiek Lootens-Stael

Chef de Groupe au Parlement Bruxellois, Vlaams Belang

Le mécanisme budgétaire bruxellois reste imperturbablement le même: des promesses de logements sociaux invraisemblables agrémentées de quelques projets de prestige. Une immigration effrénée sans la moindre politique d’intégration digne de ce monde et l’importation chez nous de toute la pauvreté du monde. Les Verts aussi veulent leur part du gâteau virtuel pour satisfaire leur électorat alors qu’entre-temps ils ont laissé la crise sanitaire littéralement exploser. 

Le Vlaams Belang considère que les Bruxellois méritent mieux que cela et envisage des alternatives pour soutenir ceux qui maintiennent la région à flot grâce à leur travail. Malheureusement, des dizaines de milliers d’entre eux quittent la ville chaque année parce que la situation empire également chaque année un peu plus en ce qui concerne la sécurité, le logement, la propreté, les infrastructures, la fiscalité, la mobilité, etc, etc, etc…