Violences extrêmes sur un policier à Anderlecht
Les politiciens portent une responsabilité
Un agent de police à été la victime d’un déchaînement de violence inouï. On l’a laissé pour mort, relate la “Dernière Heure”.
Le Vlaams Belang est, une fois de plus, profondément indigné et va, lors de la prochaine séance du Parlement bruxellois, demander des comptes aux politiciens qui ont dressé une partie de la population contre la police. Le Vlaams Belang considère également que la gestion PS de Bruxelles est en partie responsable de la vague de violence anti-policière.
«C’est indéniablement le résultat des soupçons constants envers la police qu’une grande partie de la caste politique bruxelloise distille à longueur d’année», a déclaré le Président et Sénateur du Vlaams Belang bruxellois Bob De Brabandere avant d’ajouter: «Ils sont prêts à tout pour prendre leurs nouveaux électeurs dans le sens du poil. Il faut un changement de cap structurel volontariste et bien entendu une approche forte et résolue de la criminalité: dans les rues et au parlement!»
Pour le Vlaams Belang, cette violence anti-policière à Anderlecht fait partie d’un problème plus important au niveau des politiques menées.
La semaine prochaine, le Parlement bruxellois se penchera sur les problèmes entre la police et les citoyens. Le Chef de Groupe du Vlaams Belang, Dominiek Lootens-Stael, a déclaré: « Je me range du côté des policiers contre les politiciens qui les salissent systématiquement pour protéger les clans criminels, et les quartiers qu’ils occupent, pour de basses raisons électorales».
Le Vlaams Belang tient à rappeler et à souligner que la police judiciaire fait le lien entre les actes de violence de ces derniers mois avec une augmentation de l’activité criminelle des gangs de la drogue.