Violences contre la police: circonstance aggravante!
Le Vlaams Belang est particulièrement indigné par l’attentat aux cocktails Molotov sur le commissariat de Molenbeek. Des individus ont mené une opération de commando en essayant de mettre le feu au bâtiment et aux voitures à l’aide de cocktails Molotov. Le Vlaams Belang dénonce depuis très longtemps la violence contre la police, phénomène qui s’aggrave de plus en plus dangereusement. Il s’agit bien ici d’un acte de terreur. C’est une attaque délibérée contre un bâtiment public qui incarne l’ordre et la loi. Le but est de marquer un territoire où les règles et les lois communes ne sont pas acceptées et où un autre ordre doit régner, celui des trafiquants et de l’islamisme.
Les auteurs de ces actes inouïs ont une logique conquérante. Comment est-ce possible? Parce que l’ordre et la loi ne sont plus garantis, que la police est pieds et poings liés en raison d’une politique laxiste envers les crapules et que les policiers risquent à chaque intervention de se faire incriminer pour racisme et ne sont pas du tout soutenus par les politiciens. Une grande partie de cette commune est livrée aux lois d’une autre communauté dont le but est de développer une enclave arabo-musulmane où domine la charia, c’est-à-dire une société dont les valeurs sont diamétralement opposées aux nôtres. Dans ce combat civilisationnel nous devons nous doter des moyens de résister dans un premier temps et de reconquérir nos territoires dans un second temps. Commençons donc par faire en sorte que les auteurs soient identifiés, arrêtés et punis avec une sévérité exemplaire et que l’on cesse de trouver des excuses toujours plus abracadabrantes pour justifier leurs actes abjects.
Les images de l’attaque du commissariat sont choquantes parce qu’elles s’apparentent à une scène de guérilla urbaine. Même si de telles violences contre les forces de l’ordre sont malheureusement de plus en plus courantes, notamment dans des communes bruxelloises comme Molenbeek, il ne peut pas être question de les banaliser.
Dans plusieurs quartiers de notre capitale, des gangs de criminels font la loi. Les policiers, mais aussi les pompiers et des services de secours sont attaqués très régulièrement parce qu’ils représentent l’autorité de l’Etat aux yeux des séditieux allochtones.
«Dans plusieurs quartiers de notre capitale, des gangs de criminels font la loi. Les policiers, mais aussi les pompiers et des services de secours sont attaqués très régulièrement parce qu’ils représentent l’autorité de l’Etat aux yeux des séditieux allochtones. Il est évident que ces personnes qui travaillent pour notre sécurité méritent une bien meilleure protection. C’est pourquoi une politique de tolérance zéro est nécessaire, avec des contrôles de police ciblés. Les auteurs doivent être retrouvés et arrêtés grâce aux images que livrent les caméras, puis il faut les condamner sans pitié en usant de procédures accélérées», martèle le Sénateur bruxellois du Vlaams Belang Bob De Brabandere.
Notre législation pénale doit être modifiée de toute urgence. Une circonstance aggravante distincte doit être introduite dans les chefs d’accusation lors de la commission de toute forme de violence physique à l’encontre des policiers dans l’exercice de leur profession. En matière de sécurité, comme en matière d’immigration, les deux étant intimement liés, il faut un changement radical de mentalité et d’approche. Il faut remettre de l’ordre dans la pétaudière avec la plus grande rigueur. Le temps n’est plus, depuis longtemps, aux théories fumeuses distillée par une gauche, socialiste ou libérale, complètement déconnectée de la réalité.