Un habitant sur trois est issu de l’immigration
Le nombre de personnes issues de l’immigration a doublé au cours des 20 dernières années. Dans le même temps, le nombre de personnes de souche, a diminué de 670.000 personnes. Pour le Président du Vlaams Belang, Tom Van Grieken, il s’agit d’une conflagration migratoire. Quoi qu’il en soit, le robinet de l’immigration reste grand ouvert et de nouveaux migrants continuent à arriver massivement chaque année. Notons que les immigrés illégaux ne sont pas inclus dans ces chiffres, c’est dire… Il est plus urgent que jamais d’opérer un changement de paradigmes sur l’immigration et sur la façon de répondre à ce véritable déferlement. Seul le Vlaams Belang est en mesure d’opérer cette révolution copernicienne et de rendre parfaitement intelligible les enjeux, loin de la langue de bois et des euphémismes de bon aloi.
Ces dernières années, on a dropé des migrants dans toutes nos communes. C’est ce qui ressort clairement des chiffres de Statbel, l’office des statistiques. Dans la pratique, cela signifie qu’un habitant sur trois est désormais issu de l’immigration. En 2003, ce n’était encore qu’une personne sur sept. Ces chiffres incluent non seulement les personnes qui n’ont pas la nationalité belge ou qui ne l’ont pas obtenue, mais également celles dont au moins un parent est d’origine étrangère. Plus de la moitié d’entre eux vient de pays hors UE. Les immigrés illégaux ne sont pas inclus dans les chiffres, mais leur nombre est estimé à plus de 150.000!
Ces chiffres donnent à réfléchir, mais ils confirment ce contre quoi le Vlaams Belang met en garde depuis des décennies, c’est-à-dire que cette tendance démographique met notre société en péril. Ses conséquences peuvent être ressenties à tous les niveaux et la situation devient de plus en plus intenable. Il en va ici de notre sécurité sociale, de notre système éducatif, de notre sécurité et de notre identité.
C’est peu de dire qu’il est urgent de changer de politique. Un nombre croissant de nos concitoyens, surtout en Flandre où la liberté d’expression veut malgré tout encore dire quelque chose, contrairement à ce qui se passe en République Soviétique de Wallonie-Bruxelles, L’électorat flamand, réclament depuis des années moins de migration. Hélas, ce qu’ils ont obtenu, c’est exactement le contraire à savoir un flux migratoire continu et soutenu. Nous devons développer une politique d’asile et de migration complètement différente, ici, dans nos pays voisins et finalement dans toute l’Europe. Pour inverser la tendance il faut, ça tombe sous le sens, un arrêt effectif de la migration. Il est évident que seul le Vlaams Belang est déterminé à le faire, sans tabous, sans ressentiment, en toute transparence et avec toute l’humanité qui s’impose lorsqu’il s’agit d’êtres humains.