Renaud Camus à Bruxelles
Ce samedi 6 mai, le Vlaams Belang bruxellois, à l’initiative de son Président Bob De Brabandere et de son Chef de Groupe au Parlement bruxellois Dominiek Lootens, a accueilli dans les locaux du Parlement flamand le député Filip Dewinter et l’auteur français Renaud Camus, dont l’ouvrage «Le Grand Remplacement» a fait, et fait encore, couler beaucoup d’encre, pour une conférence intitulée: «IMMIGRATION DE MASSE: COMBATTRE, FUIR OU SUBIR?».
Cette initiative du Vlaams Belang bruxellois a rencontré un franc succès puisque ce ne sont pas moins de 150 personnes qui sont venues assister à cette conférence. Ce n’est pas étonnant quand on connaît la situation à Bruxelles, à Anvers et dans toutes les grandes villes d’Europe occidentale.
La submersion migratoire met notre système de sécurité sociale dangereusement en déséquilibre et la sécurité publique tout court en subit aussi les graves conséquences.
Le député bruxellois du Vlaams Belang Dominiek Lootens a planté le décor : «quiconque se promène à Bruxelles ne peut que constater que la présence européenne tend à disparaître au profit de populations issues de pays situés hors d’Europe. C’est un fait indiscutable que personne ne peut nier ou minimiser. C’est évidemment l’immigration, légale et illégale, et le taux de fécondité de femmes allochtones, qui fait que Bruxelles a changé de visage. La réalité chiffrée du Grand Remplacement à Bruxelles est qu’il n’y a plus qu’une personne sur quatre qui est Belge d’origine Belge dans la capitale».
Filip Dewinter a évoqué quant à lui son dernier livre intitulé «Omvolking», qui se traduit par «Remplacement ethnique» ou «Grand Remplacement», qui est basé sur une longue conversation avec Renaud Camus.
Renaud Camus lui persiste et signe, oui le Grand Remplacement est un fait, oui son processus s’accélère, oui les peuples européens doivent entrer en résistance au plus vite.
Enfin, Bob De Brabandere, le jeune Président du Vlaams Belang de la Région bruxelloise conclut : «quiconque vient chez nous pour profiter de notre générosité, pour commettre des crimes ou pour imposer sa vision sociale rétrograde, sera inexorablement flanqué dehors. Ce n’est pas une vague utopie, c’est parfaitement possible. Le Vlaams Belang a le vent en poupe en Flandre où sondage après sondage, nous sommes désignés comme le plus grand parti du pays. Nos partis frères se portent également très bien dans le reste de l’Europe et ils participent de plus en plus régulièrement au pouvoir exécutif. Gardons donc espoir».
Un beau rendez-vous, un rendez-vous avec la libre parole.