Que reste-t-il pour les jeunes autochtones à Bruxelles?
Le Vlaams Belang constate que quand les détenteurs du pouvoir à Bruxelles se penchent sur la jeunesse et ses besoins, cela concerne quasi uniquement des «groupes cibles» spécifiques. C’est-à-dire des jeunes d’origine allochtone. Leurs comportements parfois problématiques sont donc récompensés par l’octroi d’animateurs, de pleines de jeux, de locaux de rencontre, et de moyens divers alors que les jeunes Bruxellois qui ne posent pas de problèmes, qui sont majoritairement autochtones, sont largement ignorés. C’est le monde à l’envers!
Pour obtenir une vraie politique de la jeunesse, nous faisons des propositions très concrètes:
- Nous souhaitons que se développent plus d’initiatives en faveur de notre propre jeunesse. Comme des espaces de jeux verdoyants et des terrains de sport où ils ne seront pas chassés par des bandes de jeunes agressifs.
- Plus de subsides en faveur de nos propres jeunes.
- Créer des espaces de jeux dans les parcs où les plus petits pourront s’amuser sans être chassés par des groupes hostiles.
- Dispenser un meilleur soutien aux mouvements de jeunesse actifs à Bruxelles.
Sur cette question comme sur toutes les autres, il est grand temps de voir les choses comme elles sont et non comme voudraient le croire les partis politiques qui ne survivent que grâce aux votes des allochtones. Nos gens d’abord! Nos jeunes d’abord!