« Plus de 1.000 faillites à Bruxelles au cours du premier semestre »

04 Juil 2022 | Nouvelles

Voilà ce que titrait le site de BXL ce 1er juillet. En effet, on dénombre 1.027 commerces en faillite ces six premiers mois de l’année. Il s’agit d’une augmentation de 56,4% par rapport à 2021. C’est le secteur de la construction qui est le plus impacté avec 1.011 faillites, devant l’horeca (845 faillites). Le transport a lui battu son record de 2013, avec 328 clés d’entreprise sous le paillasson. Pour le seul mois de juin, ces faillites ont signifié 302 pertes d’emplois à Bruxelles. Il s’agit d’une hausse qui se répète pour le neuvième mois consécutif.

 Confiez le pouvoir au trio de la gauche déconnectée, PS, Ecolo, Défi et vous obtenez inéluctablement ce scénario-catastrophe. Les causes de cet effondrement socioéconomique sont faciles à déceler: une fiscalité étouffante, une mobilité paralysée avec une politique de haine à l’égard des automobilistes, une insécurité galopante couplée à une impunité de fait, un fatras administratif, un bilinguisme quasi inexistant chez les francophones de la capitale, un effondrement de l’enseignement en communauté française et un personnel politique de très bas niveau.

Ajoutons à cela par exemple que les profs ne veulent plus enseigner à Bruxelles parce qu’ils en ont assez d’être «enrichis» par l’idéal multiculturel et qu’il faut offrir des primes aux policiers pour qu’ils acceptent de venir risquer leur peau dans ce paradis de la diversité et vous avez toutes les conditions qui sont réunies pour que Bruxelles devienne à brève échéance un désert économique et social où seuls les bobos mondialisés et le sous-prolétariat allochtone se sentent comme des poissons dans l’eau. Chaque année des dizaines de milliers de Bruxellois fuient leur ville pour s’installer là où il y a moins d’immigration, moins de saleté, moins de folie gauchiste, moins de fiscalité. Ceux qui gouvernent Bruxelles en ont-ils conscience ? Pas une seule seconde, étourdis sans doute par leurs propres chimères. Une fois de plus un seul parti politique est déterminé à affronter la réalité sans fléchir, c’est le Vlaams Belang.