Nombre de demandeurs d’asile en hausse de 16%
Comme l’avait prédit le Vlaams Belang, l’«accord sur l’asile» conclu au niveau fédéral en mars de l’année dernière se révèle être un considérable gaspillage d’argent. La législation relative à l’accord sur l’asile est désormais entrée en vigueur, mais les chiffres de l’asile ne diminuent pas du tout. Au contraire, ils continuent à augmenter de 16% par rapport à l’année dernière. Il s’agit donc d’un flop monumental à ajouter au bilan déjà catastrophique de ce gouvernement à l’agonie.
Selon les dernières statistiques du Commissariat général aux réfugiés et apatrides (CGRA), on a dénombré pas moins de 17.853 demandes d’asile au premier semestre de cette année (janvier-juin 2024). Cela représente une augmentation de pas moins de 16% par rapport à la même période de l’année dernière. Nous pouvons donc malheureusement supposer que nous atteindrons à un niveau historiquement de 35.000 demandeurs d’asile en 2024 et ce pour la troisième année consécutive.
Le Vlaams Belang souligne que ce nombre énorme de demandes d’asile exerce depuis trois ans une pression sans précédent, non seulement sur les centres et services d’accueil, mais bien sûr aussi sur les contribuables. Avec de tels chiffres, il n’est pas surprenant que le budget de l’asile s’élève à 1 milliard d’euros par an. Un demandeur d’asile coûte environ 2.600 euros par mois. Et ce budget pourrait augmenter dans les mois à venir, à mesure que la Belgique continue de faire honneur à son statut de pays de cocagne pour quiconque met le pied chez nous. Il ne fait aucun doute, par exemple, que l’hébergement des demandeurs d’asile dans des hôtels aura un coût élevé qui sera payé par les contribuables déjà pressés comme des citrons sans cela.
Le Vlaams Belang avait prédit dès le début que l’accord sur l’asile raterait complètement son objectif, et les faits lui donnent raison.
Que faire? Il faut cesser d’accueillir ces personnes dans des hôtels. En outre, l’argent de poche destiné aux demandeurs d’asile doit être supprimé, la liste des pays sûrs doit être élargie et le regroupement familial doit être limité. Enfin, les supports de données électroniques, tels que les téléphones portables, des demandeurs d’asile doivent être réellement examinés, afin que le CGRA puisse enfin évaluer correctement chaque demande d’asile.
Il faut réagir et il faut réagir vite et bien. Sans tabous, sans hésitations, avec fermeté et humanité. Il faut redéfinir les priorités et pour le Vlaams Belang, partout et toujours, la priorité ce sont nos gens!