Molenbeek, à quand les solutions?
Le Vlaams Belang note que le président de Vooruit (socialistes), Conner Rousseau, maintient sa déclaration dans une interview à Humo selon laquelle il ne se sent pas chez lui à Molenbeek. C’est un fait que nous dénonçons depuis des dizaines d’années et nous avons été qualifiés de «racistes» pour avoir fait ce simple constat par le parti de Monsieur Rousseau. Personne n’est dupe, si aucuns actes forts ne suivent cette déclaration ultra médiatisée, cela restera juste du plat populisme distillé à des fins purement électoralistes.
Conner Rousseau a réitéré son propos lors d’une récente visite à Molenbeek où selon lui le problème principal est celui de l’apprentissage des langues. Soyons sérieux, si ce n’était qu’un problème de langue, nous n’en serions pas là. C’est bien plus que cela, cela n’explique pas les zones de non-droit où des policiers sont attaqués et où des embuscades sont tendues aux services d’urgence ou comme les émeutes en marge de la Coupe du monde ou les destructions et le vandalisme qui nous attendent à nouveau le week-end prochain lors du passage vers l’an neuf à Bruxelles.
Les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui sont le résultat depuis des décennies d’une politique bruxelloise de chouchoutage des allochtones dont on a tout accepté sans jamais avoir osé exiger le respect de nos lois et de nos valeurs. C’est la famille socialiste de Monsieur Rousseau qui, pour des raisons électoralistes, a choisi la politique de l’autruche. Aujourd’hui la situation est explosive et quasi ingérable. Le paradis des allocations diverses ajouté à une politique antidrogue extrêmement laxiste et à des partis politiques traditionnels qui ne survivraient pas sans les suffrages allochtones, voilà le cocktail dangereux qui a été créé. Il est donc logique pour le Vlaams Belang que Molenbeek soit devenu un endroit où plus aucun autochtone ne se sente chez lui.
Monsieur Rousseau ne doit pas seulement se plaindre des conséquences de la politique absurde menée par le gouvernement socialiste à Bruxelles (dont Vooruit fait partie), il doit surtout proposer des solutions sérieuses. On n’y arrivera pas avec les interprètes qu’il propose pour les réunions de parents dans les écoles. Un grand nettoyage est nécessaire, comme l’avait promis Jan Jambon (N-VA), le ministre de l’Intérieur du gouvernement précédent, sans aucune suite bien évidemment. Une fois de plus on fait de la musculation devant les médias, mais l’islamisation se poursuit tranquillement et les trafiquant poursuivent leurs activités sans être trop dérangés. «Les chiens aboient et la caravane passe» (proverbe arabe).