L’Union européenne dilapide l’argent de nos impôts
L’Union européenne jette l’argent de nos impôts par les portes et les fenêtres. Pour nous aider à sortir de la crise sanitaire? Non, pas vraiment. Des millions sont gaspillés dans le cadre du programme «Europe créative». Ce programme vise entre autres à promouvoir la culture européenne. «Mais la définition de cette culture est déterminée par l’élite dirigeante. Ne pensez pas qu’il s’agit ici de ripoliner notre architecture intemporelle, nos penseurs incomparables ou de promouvoir la richesse de nos spécificités nationales. Non, non. Il s’agit plutôt de danser avec les migrants (!?) et de la promotion de la cinoquerie de la théorie du genre» explique l’eurodéputé Tom Vandendriessche du Vlaams Belang.
«Creative Europe» est un programme de subventions de 7 ans de la Commission européenne visant à promouvoir et à soutenir la coopération internationale dans le secteur culturel, créatif et audiovisuel. Sous le slogan «Imaginez, créez, partagez», «Europe créative» soutient des projets à valeur ajoutée (sic) européenne avec l’argent des contribuables. Bien entendu, cette «valeur ajoutée» ne se trouve que sous la cloche de la diversité, où aucune opinion dissidente ne peut se faire entendre.
Le projet «Migrant Bodies-Moving Borders» est l’une des nombreuses éponges de subventions au sein de ce bastion boboïste qui regorge de bonnes intentions, mais qui ne s’encombre guère des réalités pratiques. Selon leurs propres mots, les cours de danse inclusifs, remplis de moments de câlins, devraient enrichir la vie des migrants. Plusieurs centaines de milliers d’euros d’argent des impôts affluent dans cette élucubration sans la moindre réflexion sur l’utilité de ces carabistouilles.
L’argent des impôts doit servir à soutenir et à développer notre société, pas à inonder toutes sortes de projets absurdes de plantureux subsides. En temps de crise, chaque centime doit être dépensé utilement.
Une première étape pour résoudre le problème est évidente: l’industrie de la diversité et de l’intégration doit être asséchée. Des millions et des millions passent de la poche des contribuables dans celles des « entrepreneurs sociaux » sans réel contrôle de l’usage qui en est fait. Il faut que cela cesse, au sein de l’Union européenne comme à tous les niveaux dans les pays de l’Union. Chez nous les associations pro-immigration sont sur-subsidiées, par l’Union européenne, l’Etat fédéral, les Régions, les communautés, les provinces et les communes. Et tout cela pratiquement sans contrôle. C’est devenu une véritable industrie qui permet à certains de s’enrichir. Il suffit d’avoir à l’esprit le cas emblématique de Madame Sihame El Kaouakibi pour s’en convaincre.