Les Flamands veulent moins de droits sociaux pour les nouveaux arrivants
Le Vlaams Belang n’est pas surpris par les résultats d’une enquête en ligne commandée par DPG Media, qui montre qu’une majorité de Flamands souhaite limiter le nombre de migrants, s’oppose à des places d’accueil supplémentaires et souhaite protéger notre sécurité sociale. En l’occurrence, ce que pensent les Flamands, le Vlaams Belang le dit depuis des années, déclare Tom Van Grieken, président du Vlaams Belang. Il est évident que ceux qui n’ont jamais cotisé à notre sécurité sociale ne peuvent pas avoir les mêmes droits sociaux que ceux qui, génération après génération, ont construit et financé notre protection sociale.
L’enquête, menée auprès d’un millier de Flamands, montre que huit Flamands sur dix souhaitent limiter le nombre de migrants, que près de deux sur trois sont opposés à des places d’accueil supplémentaires et qu’une majorité souhaite également moins de droits sociaux pour les réfugiés.
C’est donc totalement contre la volonté de la population et sans aucun mandat démocratique que les portes de l’immigration de masse sont grandes ouvertes depuis de nombreuses décennies. Aujourd’hui, 34,5% de la population belge est issue de l’immigration. À Anvers, c’est plus de la moitié et à Bruxelles les trois quarts. Et pendant ce temps, le nombre de demandes d’asile continue de croître, pour attendre 35.507 demandes en 2023. La facture des demandes d’asile s’alourdit en conséquence pour culminer à plus d’un milliard d’euros.
Le président du Vlaams Belang souligne les conséquences sociales et économiques désastreuses de ce changement démographique et le caractère insoutenable de l’immigration actuelle: «La sécurité dans nos rues diminue, la qualité de notre éducation diminue, la sécurité sociale s’écroule et les services sociaux sont submergés au point de plus en plus souvent de ne plus être en mesure de s’occuper des flamands qui ont besoin d’aide. Chaque Flamand, y compris ceux qui ont participé à l’enquête, le ressent quotidiennement, dans la rue, à l’école, au travail et certainement dans son portefeuille».
Sans la fermeture de nos frontières, sans une politique active de retour et sans protéger notre sécurité sociale, la situation, que les Flamands n’ont jamais demandée, ne fera qu’empirer, selon Van Grieken. Pour protéger notre système social, son accès doit être réservé à ceux qui résident légalement ici depuis au moins huit ans et qui ont travaillé et cotisé pendant au moins trois ans et qui aussi maîtrisent la langue de la Région. Cela n’a rien à voir avec l’extrémisme, c’est du simple bon sens.