Le Vlaams Belang félicite les Démocrates Suédois
Le Vlaams Belang félicite son parti frère Suédois, les Démocrates Suédois de Jimmie Akeson, après une belle victoire électorale. Le bloc de droite, composé des Démocrates Suédois, du parti de l’Union modérée de centre-droit, des chrétiens-démocrates et des libéraux, a battu le bloc de gauche de trois sièges. Et les Démocrates Suédois de Jimmie Akeson sont devenus le plus grand parti de droite. Pour Tom Van Grieken, le président du Vlaams Belang, «Même dans la Suède très progressiste, les gens ouvrent les yeux sur le fait que les recettes de gauche échouent depuis des décennies».
La Suède a toujours eu l’image du pays européen le plus progressiste. Mais ce résultat électoral extraordinaire nous montre qu’il y a un écart considérable entre cette perception et la réalité de ce que ressentent les électeurs suédois. «Les Suédois sont confrontés aux mêmes problèmes que la Flandre ou l’Europe dans son ensemble. Ils comprennent très bien que seul un authentique récit de droite basé sur l’identité nationale, la liberté, la sécurité et le pouvoir d’achat peut combattre l’aliénation, l’islamisation, la mondialisation et la perte de richesse et de sécurité en Europe», déclare Tom Van Grieken.
Nos amis les Démocrates Suédois sont aujourd’hui le plus grand parti de droite.
Lorsque les Démocrates Suédois sont entrés pour la première fois au parlement en 2010, ils ont été rejetés par tous les autres partis. Maintenant, ils obtiennent un score monstre de 20,6 % des voix, ce qui en fait le plus grand groupe de droite au parlement suédois. Ils laissent ainsi derrière eux le Parti de l’Union modérée de centre-droit d’Ulf Kristersson. «On voit clairement les mêmes glissements électoraux là-bas qu’en Flandre», poursuit Tom Van Grieken. «Les gens ne croient plus les partis traditionnels du centre de l’échiquier politique qui se perdent dans des compromis sans fin et qui excluent les partis anti-establishment avec des cordons politiques et médiatiques. Nos concitoyens veulent de plus en plus de vraies politiques de droite et cela n’est possible que s’ils votent en faveur de vrais partis de droite, bien évidemment.
Pour Tom Van Grieken, ce formidable résultat montre qu’une fois de plus, la N-VA est à côté de la plaque: «Il sera difficile pour la N-VA de continuer à affirmer qu’il n’y a pas de victoires nationalistes en Europe car après l’Autriche, l’Italie, les Pays-Bas, le Danemark, l’Estonie, etc., la Suède va probablement rejoindre la liste des pays européens où nos partis frères ont accédé au pouvoir. Sans oublier le résultat époustouflant de nos amis français lors de la présidentielle et des législatives».