Le virus Woke infecte le magazine scientifique « Nature »
Le politiquement correct et l’activisme woke ne doivent en aucun cas influencer la science objective. C’est ainsi que le Vlaams Belang réagit aux nouveaux principes de la ligne rédactionnelle de la prestigieuse revue scientifique britannique «Nature». Ils ont décidé que certains articles scientifiquement valables pourront néanmoins être censurés s’ils sont «socialement sensibles». C’est à en tomber par terre. Voilà encore un nouvel exemple de la façon dont le virus woke affecte notre société. Tout doit être saccagé et éradiqué: notre langue, nos traditions, notre culture, nos visions sur les hommes et les femmes et maintenant même le monde scientifique doit subir la dictature woke, au mépris de principes d’objectivité et de neutralité scientifique gagnés grâce à des siècles et des siècles de lutte contre l’obscurantisme.
Désormais, les éditeurs de «Nature» sont autorisés à censurer les articles ayant trait à des recherches dites «socialement sensibles», même s’ils sont scientifiquement fondés. C’est une énième étape de l’activisme woke qui, heureusement, ne plaît pas à tout le monde dans le monde académique. Le psychologue de renom Steven Pinker a déjà annoncé qu’il ne publierait plus ses travaux chez «Nature», car il est désormais difficile de savoir si le magazine évalue les textes sur la base de la perspicacité scientifique ou du politiquement correct.
La croisade woke ne s’arrêtera pas d’elle-même
Il est essentiel que des gens comme Pinker envoient ce signal au monde. Les militants woke comptent sur l’intimidation et le chantage (cancel-culture) pour s’assurer que tout le monde reste soumis. Nous arrivons à ce point effrayant où le politiquement correct commence également à saper des piliers scientifiques telle la revue «Nature», dont la réputation de référence scientifique était immaculée jusqu’ici. La science doit rester libre et objective, opposée à tout tabou ou activisme woke.
«Nous ne devons en aucun cas nous tromper ou être naïfs et nous devons rester extrêmement vigilants», conclut Filip Brusselmans. «Nous assistons, médusés, à l’application minutieuse de l’agenda woke, et ce en pleine lumière. C’est-à-dire la destruction culturelle complète de notre civilisation et de toutes ses institutions. Notre langue doit être tripotée et galvaudée, notre éducation, nos traditions telles que notre bon vieux Père Fouettard et nos statues doivent être détruites, les programmes de télévision « inappropriés » doivent être mis hors ligne, etc. Lorsque même la science, qui est le domaine de l’objectivité et du réel par excellence doit être sapée, minée dans ses fondements, lorsque la science est manipulée par des fous dangereux, nous devons avoir vraiment peur pour l’avenir. La croisade woke ne s’arrêtera pas d’elle-même, nous devons donc l’arrêter. A ce titre, des dissidents courageux comme Steven Pinker méritent doublement notre soutien. Merci à lui et à tous ceux qui se lève pour résister contre cette tentative de génocide culturel qui rappelle singulièrement la sinistre inquisition du temps de Saint Ignace de Loyola.