Le Viol brutal d’une étudiante est la conséquence du laxisme généralisé
Le SDF ivoirien qui a sauvagement violé une étudiante sur le site de l’ULB avait été condamné il y a tout juste un an pour avoir fracassé la tête d’un autre SDF à l’aide d’un pied-de-biche et l’avoir aspergé avec de l’acide sulfurique. L’homme était décédé des suites de ses blessures. Le Vlaams Belang pointe du doigt la politique extrêmement laxiste du ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open Vld) qui a rendu possible ces faits particulièrement horribles. L’auteur des faits aurait dû être en prison. Une fois de plus, il s’agit d’un terrible drame humain qui ne se serait jamais produit dans un Etat de droit digne de ce nom.
La jeune victime du viol porte évidemment de graves séquelles physiques et psychologiques de cette agression. Malheureusement, dans ce pays, seules les victimes de ce type de crime gravissime doivent en supporter les conséquences et non leurs auteurs.
Force est de constater que sous ce ministre de la Justice, tout comme sous ses prédécesseurs, jamais il n’a été question de mener une véritable politique de tolérance zéro pour ce type de crimes. Nous avons juste eu droit à quelques annonces sans suite et des promesses jamais tenues. La Belgique reste le pays où des violeurs d’enfants ne doivent pas forcément aller en prison et où un viol collectif entraîne pour leurs auteurs la rédaction d’un texte pour toute pénitence.
Cette malheureuse étudiante n’a pas seulement été victime d’une racaille meurtrière qui, bien sûr, n’aurait pas dû être autorisée à se déplacer librement fin décembre, elle est aussi victime de la politique de gauche, extrêmement laxiste, menée par Van Quickenborne. Cette politique fait que même après un homicide on n’est pas certain de voir l’auteur sous les verrous. La surpopulation carcérale ne peut pas conduire à l’impunité, comme c’est le cas actuellement. C’est un signal extrêmement dangereux qui est envoyé aux criminels de ce type. Avec une politique sérieuse et des sanctions sévères, réellement et totalement purgées, ce drame ne se serait jamais produit.