Le résultat des élections hongroises mérite le respect et non les foudres de l’Union européenne!

Quelques instants après l’éclatante victoire électorale de Viktor Orbàn, l’Union européenne déployait immédiatement son nouveau mécanisme de sanctions contre la Hongrie. Le Vlaams Belang considère qu’aucune répression ne peut empêcher un peuple de vouloir être libre et être lui-même. L’Union européenne semble vouloir refuser à la Hongrie le droit à l’autodétermination qu’elle reconnaît et encourage par exemple pour les peuples Africains. Attitude étrange, contradictoire mais surtout idéologiquement orientée. Il s’agit de museler toute forme politique qui s’appuie sur la souveraineté nationale et le patriotisme. Le projet de L’Union européenne vise à gommer les nations au profit d’un grand ensemble fédéral déraciné, désincarné et sans âme au service d’intérêts globalisés et mondialistes.

La Commission européenne a annoncé le lancement du soi-disant mécanisme de l’état de droit contre la Hongrie. Cela signifie que la Hongrie sera financièrement sanctionnée, puisque recevoir de l’argent du budget européen est subordonné au respect de l’État de droit.

Selon le député européen Tom Vandendriessche (Vlaams Belang), cela témoigne d’un cynisme sans précédent: «Le respect de l’État de droit signifie également le respect des résultats d’élections libres. La démocratie hongroise a parlé, Viktor Orbán et son parti sont clairement sortis vainqueurs». Tom Vandendriessche regrette ce que concocte l’Union européenne: «La Commission veut que des fonctionnaires non élus punissent les Hongrois pour avoir mal voté. Il est bizarre de voir comment l’élite libérale de gauche interprète le concept de démocratie. Pour eux, la démocratie se limite à un choix exclusif entre différentes nuances d’un même libéralisme de gauche. D’autres visions du monde et de l’Europe en particulier sont automatiquement rejetés comme antidémocratiques et donc illégitimes».

Les Hongrois veulent être libres, autonomes et rejettent l’absurde haine de soi et l’idéologie du genre qui empoisonnent l’Occident. Ils défendent leur identité, leur liberté et leurs racines chrétiennes. Ils ne veulent pas disparaître. Ce n’est pas du goût de la Commission européenne, qui veut retirer à la Hongrie le droit de vote dans l’UE. Et pas du goût des totalitaires libéraux de gauche au Parlement européen qui veulent faire chanter financièrement les Hongrois.

Aucune répression ne peut empêcher un peuple de vouloir être libre et être lui-même. Par conséquent, les mondialistes finiront par perdre, aussi puissants soient-ils, et le peuple gagnera par la force de sa volonté de vivre et de son nationalisme.