Le paradis multiculturel suédois part en vrille
La Suède a été secouée pour la énième fois ces derniers jours par des émeutes violentes, principalement menées par de jeunes hommes musulmans. Les choses terribles qui se passent actuellement dans des villes suédoises telles que Stockholm, comme le vandalisme et la violence des gangs, sont également un phénomène bien connu dans d’autres pays européens et certainement aussi dans notre pays. Ces violences ne peuvent être contrées que par une approche ferme et même sans pitié. Il faut aussi avoir le courage politique de reconnaître que le multiculturalisme est une expérience ratée qui doit être progressivement abandonnée pour en revenir à une société plus homogène.
Le week-end dernier, des émeutes violentes ont secoué plusieurs villes suédoises avec un triste bilan de 40 personnes blessées dont 17 policiers. C’est une action menée par un militant islamo-critique qui a mis le feu aux poudres, ce qui démontre que la liberté d’expression est et reste un exercice difficile au sein de l’islam. Des centaines d’émeutiers masqués, pour la plupart de jeunes immigrés, ont incendié des voitures, des poubelles et même une école. Ils ont aussi bombardé les agents avec des pierres et causé des dégâts divers. Les nombreux gangs criminels qui sévissent en Suède depuis des années sont également impliqués dans ces débordements ultra-violents. Selon le commissaire de police suédois Anders Thornberg, dans certains cas on peut parler de tentatives de meurtre et, à tout le moins, de violences gratuites contre les policiers.
Sans une approche stricte et appropriée, la situation en Suède ne fera qu’empirer
Cette violence et ce vandalisme gratuits ne sont en réalité aucunement liés à un événement ou à une manifestation politique. Ce sont des actes gratuits, complètement inutiles, ils complètent le tableau dramatique que nous connaissons aussi ici à Bruxelles d’une jeunesse, souvent d’origine arabo-musulmane, qui voue à notre société une haine féroce.
Espérons qu’en Suède, les autorités répondront désormais aux violences de manière appropriée et efficace. C’est-à-dire en menant une politique de tolérance zéro et de contrôles de police ciblés. L’établissement d’une justice rapide avec des sanctions correctes prononcées par un pouvoir judiciaire indépendant et imperméable aux discours larmoyants d’une gauche qui voit en chaque coupable une victime. En fin de compte, c’est aux Suédois de rétablir l’ordre et la loi et nous devons veiller à ce que notre pays ne glisse pas dans un tel scénario, bien que ce soit déjà très largement le cas, hélas.