Le monde entier l’a vu: la démocratie Belge est à l’agonie
La NatCon (National Conservatisme Conference) est une réunion annuelle de responsables politiques conservateurs de droite venus de toute l’Europe. Le Vlaams Belang y était également invité. Des groupes de gauche Antifa, téléguidés par le PS, ont menacé les exploitants des salles louées, les obligeant à résilier les contrats de location. Le député européen Tom Vandendriessche (Vlaams Belang), qui participait également à la conférence, parle de censure d’extrême gauche. En Belgique, en 2024, l’intimidation et la violence l’emportent sur les droits constitutionnels.
C’est une tendance que nous constatons hélas de plus en plus souvent. Des groupes militants d’extrême gauche empêchent les réunions de droite par la violence et l’intimidation afin de censurer notre message politique. Dans un État de droit démocratique normal, les autorités interviendraient et veilleraient au moins à ce que la liberté d’expression soit garantie. La réalité montre que c’est tout le contraire qui se passe. Les partis politiques de gauche instrumentalisent ces groupes d’action d’extrême gauche pour faire taire leurs opposants politiques.
Les exploitants de la salle bruxelloise «Concert Noble» et de l’hôtel «Sofitel» ont été intimidés par diverses organisations de gauche. Le bourgmestre PS de Bruxelles, Philippe Close, a également annoncé qu’il valait mieux annuler la conférence. Selon Tom Vandendriessche, c’est le monde à l’envers: «C’est le Bourgmestre qui, en tant que chef de la police, doit garantir la sécurité de ces événements conformément à la loi. Au lieu de cela, il utilise l’intimidation de la gauche pour saboter la conférence».
Ce qui s’est passé à Bruxelles est exemplaire de l’état de notre démocratie: les opinions qui dérangent le complexe politico-médiatique sont éradiquées par tous les moyens possibles, même au prix de la démocratie. La Belgique se ridiculise et montre l’état de sa démocratie et de ses droits fondamentaux sous le gouvernement d’Alexander De Croo. Et dire que ces censeurs font systématiquement référence aux soi-disant valeurs européennes, la démocratie et l’État de droit pour pointer du doigt des pays réellement démocratique comme la Hongrie. Quelle hypocrisie! «Le fascisme peut revenir sur la scène à condition qu’il s’appelle antifascisme» disait Pier Paolo Pasolini, le rand réalisateur et écrivain italien. C’était visionnaire.