La STIB est la cible des barbares

12 Fév 2021 | Nouvelles

Mineur d’âge arrêté pour le jet d’un cocktail molotov sur un bus de la STIB

La situation devient totalement incontrôlable et est entrée dans une spirale infernale sans qu’on puisse présager de son issue. Ainsi un bus de la STIB était la cible d’un caillassage en règle et d’un jet de cocktail molotov ce 1er janvier 2021 rue Blaes, au cœur des Marolles, vers 18 heures. Le chauffeur, sous le choc, s’est rendu le plus rapidement possible à l’arrêt de la Porte de Hal, où il a demandé aux passagers de quitter le véhicule parce qu’il était dans l’incapacité de poursuivre son itinéraire.

L’un des “jeunes” qui avait lancé les projectiles a pu être identifié et a été arrêté par la police. Il s’agit d’une jeune de 17 ans bien connu des services de police, celui-ci a été déféré devant le juge de la jeunesse. Le jour précédent, le soir de l’an, la STIB avait dû déplorer des dommages causés à trois bus, deux trams et deux arrêts de tram.

 

Le bus 89 est détourné en raison de caillassage et de parking sauvage

La STIB dévie temporairement le bus 89 parce que deux de ses bus ont fait l’objet de caillassages. Désormais donc, certains arrêts du vieux-Molenbeek ne sont plus desservis. La ligne est déviée entre les arrêts Delacroix et Ribaucourt, ce qui signifie que les arrêts Ducs de brabant et Comte de Flandre ne sont plus desservis. Plusieurs incidents sont à l’origine de cette décision, notamment le caillassage de deux bus au cours du mois de janvier 2021.

La porte-parole de la STIB précise qu’il n’y a pas seulement les problèmes de jets de projectiles contre les véhicules de la société des transports publics bruxellois, mais qu’il y a aussi le problème récurrent du parking sauvage à hauteur des arrêts de bus et le parcage en double file, ce qui suscite un haut niveau de stress chez les chauffeurs de bus.

Il faut avoir le courage de dire les choses comme elles sont. Ces quartiers habités essentiellement par des personnes d’origine nord-africaine sont des zones de non-droit où tout ce qui incarne, réellement ou pas, l’autorité doit être chassé: transports en commun, pompier, ambulances, policiers, etc… Il n’y a pas beaucoup de solutions: soit on laisse faire et on arrive à des situations insurrectionnelles, comme c’est le cas aujourd’hui, ou on met les moyens nécessaires en œuvre pour reconquérir ces quartiers et pour y faire triompher l’ordre et la loi, l’Etat de droit et la démocratie. L’heure n’est plus aux analyses et aux discours, l’heure est à l’usage de la force publique. Il est presque déjà trop tard!

 

Conclusion

Tant qu’on ne s’attaque pas avec toute la détermination nécessaire à ces comportements asociaux et criminels, la situation ne fera qu’empirer. Il est plus que temps qu’on change radicalement de politique et d’approche de ce genre de phénomènes:

  • Comparution immédiate des délinquants.
  • Condamnations à des peines de prison fermes. Stop aux peines alternatives qui sont perçues comme de l’impunité.
  • Responsabilisation financière des parents et suspension des allocations familiales.
  • Retrait de la nationalité quand c’est légalement possible.
  • Autorisation pour la police de faire usage de ses moyens de défense.
  • Doter la police de moyens adaptés à la situation, comme des teasers par exemple.
  • Rétablir une seule zone de police avec un commandement unique afin d’éradiquer la mainmise des bourgmestres sur la politique de sécurité qui à Bruxelles fait trop souvent l’objet de positionnements politiques (on refuse de responsabiliser certaines catégories d’allochtones pour ne pas froisser cet électorat).

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