La police n’a pas besoin de leçon de morale sur le racisme

28 Juil 2022 | Nouvelles

Le Vlaams Belang réagit de manière critique à la récente approbation par le Conseil des ministres d’un «Plan d’action interfédéral contre le racisme». «Il semble que la Vivaldi essaie obstinément d’entretenir le préjugé absurde selon lequel le racisme est un problème majeur au sein des forces de police. Il est clair que ce genre de plan d’action ne fait que permettre à certains «jeunes» de continuer à se complaire dans un rôle victimaire sans remettre en cause le moins du monde leur propre responsabilité dans leurs actes», a déclaré le député fédéral Ortwin Depoortere, par ailleurs Président de la Commission de l’Intérieur.

Même lorsque les jeunes immigrés gâchent le plaisir des paisibles vacanciers dans les parcs récréatifs ou à la côte, les politiciens ivres de wokisme réussissent encore à dénoncer un manque d’opportunités de loisirs pour les jeunes allochtones en question ou ils répondent aux flots des critiques émises par les honnêtes gens et par le Vlaaams Belang par l’existence hypothétique d’un racisme généralisé au sein des forces de police et finalement dans l’ensemble de notre société. Bien entendu, le Vlaams Belang condamne toute forme de racisme, mais celui-ci ne doit pas, comme dans le fameux Plan d’action, se limiter, et nous citons: «à l’antisémitisme, la romaphobie, l’islamophobie et l’afrophobie». Il y a aussi le racisme anti-occidental, antiblancs, anti-européens et anti-flamands, mais malheureusement ce racisme-là reste un sujet ultra tabou.

Le fait est que ce Plan d’action interfédéral contre le racisme est particulièrement partial. Il est clairement orienté idéologiquement à gauche.

Ortwin Depoortere

Député fédéral, Vlaams Belang

«Que des policiers soient obligés de subir un véritable cours de dinguerie woke sous couvert de formation contre le racisme est naturellement contre-productif. Si le gouvernement veut rendre attractif le métier de policier, il ne faut pas essayer d’en faire un service social», poursuit Ortwin Depoortere. «La secrétaire d’État à l’Égalité des chances, Sarah Schlitz (Ecolo), estime que les carabistouilles sur le néocolonialisme et la décolonisation aideront les forces de police à lutter contre le racisme. On va trop loin. Les policiers qui sont parfois amenés à mettre leur vie en péril dans les zones de non-droit à Bruxelles ne se soucient vraiment pas de ce genre de couillonnades politiquement correctes.

«Le fait que le Premier ministre Alexander De Croo (Open Vld) veuille désormais également ouvrir la fonction publique aux ressortissants non européens dans ce Plan d’action est totalement inacceptable. La seule chose sur laquelle les excellences de cette mauvaise plaisanterie politique qu’est le gouvernement Vivaldi peuvent s’accorder aujourd’hui, c’est de mettre de côté la Constitution du pays pour permettre aux non-Européens d’occuper des postes dans la fonction publique. Nos concitoyens ont-ils vraiment conscience de l’allure à laquelle le train Belgique se dirige vers le précipice?