Interdire les burkinis n’est pas une discrimination, bien au contraire!
UNIA, le Centre interfédéral pour l’égalité des chances et la lutte contre les discriminations et le racisme, a publié un rapport sur l’utilisation de burkinis couvrant le corps dans les piscines. Sans véritable surprise on notera que l’interdiction du burkini y est considérée comme une discrimination. Que pouvait-on attendre d’autre de la part d’une institution gouvernementale contrôlée politiquement qui ne sert en réalité qu’à lutter contre le Vlaams Belang avec l’argent des contribuables.
Le burkini est un symbole de l’oppression des femmes dans l’islam et pour cette seule raison il n’a pas sa place dans nos piscines ou sur nos plages. Mais il y a aussi des raisons d’hygiène et de sécurité pour interdire ces bêtises. Ce n’est pas sans raison que les interdictions du burkini ont été confirmées à différentes reprises par les tribunaux.
Le directeur d’UNIA, Patrick Charlier, a fait la comparaison complètement ridicule avec les maillots de bain couvrants portés pour des raisons de santé ou de handicap. On compare ici des pommes avec des poires. Les femmes musulmanes qui portent des burkinis le font parce que, selon les règles islamiques, elles ne sont pas autorisées à montrer leur corps, il n’est pas question ici de santé ou de handicap. En termes juridiques, la discrimination fait référence au traitement inégal de personnes qui se trouvent dans des circonstances égales, ce que les quelque 100 employés à plein temps d’UNIA n’ont pas encore compris semble-t-il.
Il faut sans cesse rappeler que l’islam n’est pas seulement une religion, mais que c’est aussi une idéologie et un système juridique religieux avec la fameuse charia. Nous ne devons pas tolérer la moindre concession à son égard dans notre espace public. Les burkinis ou les heures de baignade séparées ne sont pas innocents, il s’agit d’occuper littéralement le territoire pour montrer sa force et sa domination. Ne pas le comprendre nous mène vers une islamisation toujours plus répandue et donc vers un clash civilisationnel qui s’avère chaque jour de moins en moins évitable.