Et maintenant, à quand des excuses?

26 Nov 2020 | Communiqués

Le Vlaams Belang demande des excuses aux politiciens socialistes qui s’étaient déchainés en critiques féroces et injustes à l’encontre de la police et des policiers après un accident qui avait coûté la vie à un jeune allochtone, Adil. C., 19 ans, en fuite et qui s’était écrasé avec son scooter contre un véhicule de la police en avril dernier. Cet accident avait déclenché les habituelles vagues de violences contre la police. Ce 26 novembre, les experts ont considéré que la police ne portait aucune responsabilité dans la mort du jeune homme.

Après l’accident de ce jeune allochtone fuyant un contrôle de police, les réactions ne se sont pas fait attendre. «Ces réactions étaient complètement disproportionnées» estime le député bruxellois du Vlaams Belang Dominiek Lootens-Stael. «Les policiers ont été menacés de mort, des vidéos sur les réseaux sociaux appelaient à la vengeance, des véhicules de police ont été détruits et même une arme de police a été volée par des émeutiers» rappelle-t-il. 

«Maintenant que l’enquête judiciaire a montré que la police n’est pas à blâmer, la gauche se confinera certainement dans un silence assourdissant»

Dominiek Lootens-Stael

Chef de Groupe au Parlement Bruxellois, Vlaams Belang

Bob De Brabandere, Sénateur et Président du Vlaams Belang bruxellois ajoute: «Malheureusement, la police a fait l’objet des critiques les plus diffamatoires de la part de personnalités politiques de gauche faisant partie de la majorité gouvernementale. Et cela à un moment où nos policiers avaient vraiment besoin d’être soutenus. Les députés socialistes Hilde Sabbe et Els Rochette avaient été jusqu’à demander des auditions. Mais surtout la conseillère communale Catherine François, du PS, et le Secrétaire d’Etat bruxellois Pascal Smet, socialiste, se sont montrés d’une virulence ignoble à l’égard des forces de l’ordre. Après que Pascal Smet avait rapporté sur sa page Facebook que contrôler un jeune allochtone n’était pas une priorité absolue pour la police et que celle-ci aurait tout aussi bien pu sonner à sa porte le lendemain. Le syndicat de police SLFP était tellement furieux que Smet a dû rapidement supprimer son crapuleux message.

Le Vlaams Belang estime que présenter des excuses à la police est la moindre des choses que pourraient faire ces élus qui ont insulté des hommes et des femmes qui chaque jour s’engagent sans compter pour défendre et protéger nos concitoyens. Mais nous ne sommes pas naïfs et nous ne nous faisons aucune illusion en ce qui concerne les partis politiques du système. Pour eux, la police restera une cible privilégiée parce qu’il s’agit de prendre leur nouvel électorat dans le sens du poil, c’est aussi simple et aussi cynique que cela et c’est écœurant.

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