Des partis comme le Vlaams Belang sont les plus grands défenseurs des droits des femmes

17 Jan 2023 | Nouvelles

Il est encore courant de lire dans la presse francophone que le Vlaams Belang serait un parti sexiste. Qu’il pense que «la place des femmes est à la cuisine» et que les femmes seraient «juste bonnes à faire des enfants et à s’en occuper». Cette accusation est tellement ridicule qu’elle force le sourire, pourtant nous observons encore de temps en temps des commentaires sur les réseaux sociaux qui reprennent cette idée farfelue.

Pour éviter tout malentendu, que les choses soient claires: le Vlaams Belang aime et honore les femmes. Le fait de devoir réaffirmer une telle évidence nous apparaît comme anachronique. Nous respectons et saluons toutes les femmes, celles qui travaillent comme celles qui font le choix de rester à la maison pour s’occuper de leurs enfants, les plus âgées qui ont construit notre société comme les plus jeunes qui prennent résolument et avec courage leur place dans le monde. Celles qui s’engagent en politique, comme notre Cheffe de groupe à la Chambre, Barbara Pas, qui est aussi mère de famille. Comme toutes ces femmes qui sont mandataires pour le Vlaams Belang dans les Parlements, les Conseils provinciaux et les communes ou qui occupent des fonctions dirigeantes dans nos sections et nos instances provinciales et notre Bureau politique. Bravo et merci à elles sans qui le Vlaams Belang ne serait pas le grand parti qu’il est devenu. Il n’y a pas de place au Vlaams Belang pour des conceptions aussi archaïques que le mépris des femmes.

 Pourtant, très récemment, c’est dans la presse néerlandophone que cette vieille accusation de mépris des femmes, usée jusqu ‘à la corde, est revenue sur le tapis. En effet, l’hebdomadaire de référence Knack a publié un article sur «Les femmes et l’extrême droite» dont le contenu est proprement renversant. Les rédacteurs cherchaient une réponse à la question de savoir pourquoi les femmes votent pour des partis qui veulent «restreindre leurs droits». La cheffe de Groupe du Vlaams Belang à la Chambre des Représentant a immédiatement réagi: «On m’a toujours dit qu’il n’y a pas de questions stupides, mais Knack prouve le contraire. Il n’y a pas de plus grands défenseurs des droits des femmes que des partis comme le nôtre».

Selon Knack, un parti comme le Vlaams Belang restreint les droits des femmes. A titre d’illustration, l’hebdomadaire cite que le Vlaams Belang, et auparavant le Vlaams Blok, a ​​défendu l’idée pendant des années que la place des femmes est au foyer. C’est un préjugé absurde qui persiste depuis plusieurs décennies alors qu’il est sans aucun fondement. L’origine de cette fake news remonte à une opinion ancienne que nous défendons toujours à ce jour, à savoir que l’on veut donner à l’un des parents, le père ou la mère, la possibilité de rester à la maison et de s’occuper des enfants pendant quelques années, et de recevoir pour cela une compensation financièrement. Toujours à la recherche de l’argument fatal qui doit faire disparaître le Vlaams Belang du paysage politique, nos adversaires politiques relayés par leurs amis dans la presse, ont alors créé de toutes pièces «la femme au foyer comme boniche à bon marché, modèle impératif du Vlaams Blok/Belang». Ceci n’est qu’un avatar de plus du mépris abyssal que ces partis et ces médias portent pour monsieur et madame tout-le-monde. Comme si nos concitoyens allaient tomber dans un piège aussi grossier, aussi vulgaire.

Knack devrait plutôt se demander pourquoi les femmes votent encore pour des partis tels que Vooruit, PS, Groen, Ecolo, Open Vld, MR, CD&V, les Engagés, défi ou PVDA/PTB. Parce qu’enfin, voyons les choses comme elles sont: pour des raisons électorales, ces partis sont tous prêts à renoncer aux droits des femmes. Il suffit de penser à l’acceptation du symbole par excellence de l’oppression des femmes, c’est-à-dire le foulard islamique». Sans parler de la vision condescendante et même carrément humiliante de ces partis sur les femmes, avec l’introduction de quotas de femmes, comme si celles-ci n’étaient pas capables de s’imposer sur base de leurs qualités propres, leur intelligence, leur pugnacité, leur imagination, leur propre manière d’appréhender notre société, qui sont autant d’atouts essentiels pour notre progression à tous.

En raison du tsunami migratoire et de la surpopulation qui en est la conséquence, les droits des femmes sont aujourd’hui indéniablement sous pression. Heureusement pour les femmes, il existe encore des partis comme le nôtre, pour lesquels le respect des femmes va de soi. Complètement différent, par exemple, du mépris pour les femmes chez Vooruit, où le président Conner Rousseau, jouant au DJ dans une discothèque, s’exclamait: « Qui a la chatte mouillée?». Comme quoi politique et bon goût ne fait pas toujours bon ménage et comme quoi le respect des femmes pour ces partis n’est qu’une position médiatique,sans plus!