Défendre notre identité ou… périr!

11 Jan 2021 | Nouvelles

Bruxelles connaît un bouleversement sociologique qui ne cesse de s’accroître. La réalité est que ce bouleversement n’est pas toujours un enrichissement, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire. Le halal obligatoire à l’école, des autochtones bruxellois qui se font tabasser parce qu’ils ont osé manger quelque chose en rue durant le Ramadan, le marché de Noël qui se transforme en marché d’hiver et Pâques qui devient printemps et Saint-Nicolas qui se voit flanqué d’un père Fouettard blanc et les foulards dans nos écoles et les conflits étrangers qui trouvent leurs prolongements dans nos rues en véritables batailles rangées…. Notre propre culture, nos normes et nos valeurs sont mis en danger par ces changements sociologiques radicaux et par l’islamisation galopante de Bruxelles.

Il est donc grand temps que s’opère une véritable révolution copernicienne concernant la place de notre identité dans notre ville Bruxelles. D’abord, notre identité doit être prioritaire en toutes choses. Ce sont nos lois, nos normes et nos valeurs qui doivent constituer l’axe central de notre société. Qui veut venir chez nous et s’installer doit s’adapter à notre manière de vivre et à nos lois et non l’inverse. Même les allochtones de bonne volonté, c’est-à-dire ceux qui sont prêts à s’adapter, ont intérêt à ce que l’église revienne au milieu du village. Ceux-là seront récompensés pour leurs efforts et les autres pourront tirer les conclusions qui s’imposent. 

C’est la condition pour que les Bruxellois se sentent à nouveau chez eux à Bruxelles.

  • Pour y arriver, nous faisons des propositions très concrètes:
  • Un stop migratoire et une politique d’expulsion de ceux qui résident illégalement sur notre territoire.
  • Un arrêt immédiat de l’ouverture de nouvelles mosquées.
  • Interdiction du port du foulard dans les écoles et dans les services publics.
  • Interdiction des abattages rituels.
  • Abolition de la possibilité de double nationalité pour les ressortissants de pays hors-UE.
  • Plus de soutient pour les initiatives qui promeuvent nos propres langues et cultures. La Vlaamse Gemeenschapscommissie (Commission communautaire flamande) doit développer ses initiatives en premier lieu en faveur des habitants néerlandophones. Tout comme la Communauté française doit développer ses initiatives en premier lieu en faveur des habitants francophones. C’est de la simple logique des choses.

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