Bruxelles plonge dans une violence jamais vue

03 Juil 2023 | Nouvelles

Des statistiques catastrophiques interpellent les services de police à Bruxelles. Les statistiques de la police publiées aujourd’hui dans la presse dénombrent 46 fusillades en 2022 dans la Région de Bruxelles-Capitale. Ce chiffre bat tous les records.

Ces 46 fusillades, qui ne concernent que des échanges de coups de feu entre civils et qui ne concernent donc pas l’usage d’une arme à feu par la police, ont causé la mort de 3 personnes et en ont blessé 19 autres. A cet inquiétant tableau, il faut ajouter 3 incidents avec usage de grenades ou de cocktail molotov.

Le Vlaams Belang, par la voix de son Chef de Groupe au Parlement bruxellois, Dominiek Lootens-Stael, désigne clairement les responsabilités dans cette situation de plus en plus incontrôlable: «Ceci est le résultat de dizaines d’années de laxisme, de désorganisation, de manque de moyens en personnel et en matériel, d’une justice qui ne suit pas, de peines alternatives qui ne dissuadent pas les criminels, et, il faut bien le dire, de la complicité des partis politiques de gauche qui refusent tout approche répressives pour ne pas prendre leur électorat allochtone à rebrousse-poil!»

Bob De Brabandere, Sénateur et Président du Vlaams Belang Bruxellois, ajoute: «Ce sont tous les gouvernements fédéraux et régionaux de ces dernières décennies qui sont responsables de cette situation explosive et donc ce sont tous les partis politiques au pouvoir depuis tout ce temps qu’il faut montrer du doigt!»

Les communes quant à elles restent muettes.

Pour rétablir l’ordre et la loi et vaincre les mafias étrangères (nord-africaine, albanaise, marseillaise, etc…) qui ont mis main basse sur Bruxelles, Molenbeek et Anderlecht, notamment, où ces fusillades ont principalement eut lieu, le Vlaams Belang veut:

  • La sécurité, qui est un droit fondamental, doit être déclarée comme la priorité absolue en Région bruxelloise, ce qui implique que les moyens nécessaires soient libérés.
  • La fusion des six zones de police en un grand corps de police régional.
  • Une politique répressive de l’ordre public le temps d’assainir la situation.
  • Une justice qui suit le mouvement en prononçant des peines réellement dissuasives dans un délai très bref.
  • Par ailleurs, les médias et les partis politiques de gauche pourraient s’interroger sur leurs responsabilités dans la situation en raison de leur habitude de toujours tout justifier, même l’injustifiable.