Avenue Van Overbeke à Ganshoren: invivable!

19 Mar 2021 | Nouvelles

Le quartier de l’avenue Van Overbeke à Ganshoren a mauvaise réputation. Un climat d’insécurité s’y est développé au cours des deux dernières décennies, avec des périodes d’accalmies et des périodes de crise profonde. L’autorité communale s’en est désintéressée, puis a produit quelques efforts de rénovation qui n’ont eu qu’un effet cosmétique. Les problèmes profonds restants sans solutions à long terme. Aujourd’hui, aux problèmes habituels liés à une présence importante d’une population allochtone dont une partie non négligeable refuse tout effort d’intégration et qui se complet dans la délinquance et le vandalisme, s’ajoute une vague de voitures vandalisées, de vols à la tire, d’incendie et de nuisances diverses. Comme le relate le journal La Capitale, «les riverains de l’avenue Van Overbeke n’en peuvent plus de la criminalité dans leur quartier. Ils pointent tous la présence d’un squat».

En effet, depuis le mois d’avril 2020, c’est-à-dire il y a presque un an, une ancienne maison de repos baptisée «Classic», située au numéro 160 de l’avenue Van Overbeke est occupée, dans la plus parfaite illégalité, par des migrants. Mais ces derniers mois et semaines, les tensions sont de plus en plus grandes dans le quartier. Le ras-le-bol des riverains s’est exacerbé lorsque plusieurs véhicules ont eu leurs vitres et leurs rétroviseurs cassés.

Encore sur les réseaux sociaux, un commerçant du quartier, Le pâtissier Manuel Logghe, dépeint une situation qui dépasse l’imagination: «Plusieurs de mes clients et souvent des personnes âgées se sont fait délester de leur téléphone, portefeuille etc.… Il est temps de trouver une solution car la patience à ses limites». «Après la publication de mon message, j’ai reçu 4 appels sur Messenger de personnes qui m’ont demandé qu’on se mobilise pour une action. J’ai eu également beaucoup de commentaires. Depuis que Catherine Moureaux a fait fermer un squat à Molenbeek, il y a un groupe de personnes qui est venu ici et qui a expulsé les personnes qui étaient déjà là. De ce qui se raconte, il y a une sorte de mafia où ils font payer la nuit aux sans-abri et aux migrants qui n’ont déjà pas d’argent. De ce fait, ces gens se trouvent obligés de voler pour avoir un toit», «A l’arrêt de bus, un gars a tenté de voler le GSM de mon apprenti alors que son téléphone était dans sa poche. La semaine dernière, j’ai accompagné un homme de 86 ans à la police pour qu’il dépose plainte. En sortant de sa voiture, un gars est entré par l’arrière et lui a volé son portefeuille et son téléphone. J’ai des clients qui ne veulent plus venir. Quand ils font la file dehors, ils se font importuner par des gens qui mendient ou qui leur font les poches».

 

Rappelons aussi qu’un début d’incendie a eu lieu au mois de décembre de l’année passée dans le squat du numéro 160 de l’avenue Van Overbeke et qu’une agression au couteau y avait été enregistrée au mois d’octobre.

 

La Capitale toujours relève que la colère des habitants du quartier se cristallise de plus en plus sur les réseaux sociaux et que désormais on demande carrément la démission du Bourgmestre. Un riverain dont la voiture a été saccagée près de la piscine de Ganshoren demande : «Monsieur Kompany où êtes-vous et votre police». Comme on le voit, les citoyens contribuables du quartier ne sont plus disposés à se laisser faire par une autorité défaillante incapable de prendre les mesures coercitives qui s’imposent. Par peur sans doute de devoir nommer clairement l’origine du problème et de battre ainsi en brèche le politiquement correct et la loi du silence qui règne lorsque la responsabilité directe des étrangers, migrants, illégaux et légaux, est en cause. Par peur sans doute aussi de perdre un électorat allochtone dont les vieux partis politiques bruxellois sont si friands.

C’est précisément ce qui fait la différence avec le Vlaams Belang qui lui n’hésite jamais à dire les choses comme elles sont et à proposer les solutions qu’impose le plus élémentaire bon sens. Voitures vandalisées, vols à la tire, incendie, agression au couteau, harcèlement, marchands de sommeil, nuisances diverses… le quartier n’était déjà pas facile à vivre, aujourd’hui il est devenu invivable.

 

Le Vlaams Belang demande :

  • L’évacuation et la fermeture immédiate du squat de l’ancienne séniorie «Classic» (avenue Van Overbeke 160), celle-ci est occupée illégalement notamment par des migrants.
  • Une présence policière constante tant que le squat n’est pas définitivement fermé et que ses occupants sont évacués.
  • Une intervention proactive du Bourgmestre sur le terrain, à l’écoute des riverains. Il faut que cesse la politique de l’autruche.
  • Une pacification durable du quartier avec une stratégie policière de réappropriation du territoire.

 

Il faut que les honnêtes gens puissent vivre en toute sécurité dans leur quartier et que les délinquants, les criminels et les fauteurs de troubles soient véritablement combattus et implacablement poursuivis, condamnés et expulsés en direction de leur pays d’origine lorsqu’ils sont étrangers. Pour cela il faut une police locale encouragée, soutenue par les responsables politiques, avec des moyens accrus et une justice bruxelloise déterminée à mener une politique de tolérance zéro. C’est ce que demande le Vlaams Belang tant au niveau fédéral que régional. Si le bourgmestre de Ganshoren, Monsieur Kompany, ne se sent pas à la hauteur de ses responsabilités, nous l’invitons à démissionner. Il n’y a pas de honte à reconnaître ses limites.

Cliquez ici pour prendre connaissance du folder qui est distribué dans le quartier de l’avenue Van Overbeke à Ganshoren par le Vlaams Belang.