À 3000 à Bruxelles
Le Vlaams Belang a créé un événement historique ce lundi 29 mai 2023 en manifestant avec plus de 3.000 personnes au centre de Bruxelles, devant la Gare-Centrale pour se faire entendre. Se faire entendre des politiciens du système qui somnolent confortablement installés dans leurs tours d’ivoire sans se soucier le moins du monde des souffrances de nos compatriotes.
Dès l’annonce de notre intention de manifester pacifiquement dans la capitale, le bourgmestre Philippe Close (PS) n’a pas hésité un instant à interdire notre action, pourtant démocratiquement légitime. Immédiatement, le Vlaams Belang a initié une action en référé devant le Conseil d’Etat qui a donné unilatéralement raison au Vlaams Belang. Monsieur Close pourra dire à ses sbires qu’il a fait ce qu’il a pu, mais le droit a triomphé et le bourgmestre Close s’est ridiculisé. Voilà les faits.
Le cri de colère du Vlaams Belang au centre de Bruxelles était le point d’orgue d’une initiative unique dans l’histoire politique du pays. En effet, le Président du Vlaams Belang, Tom Van Grieken, à marché pendant dix jours, du 19 au 29 mai entre Ostende et Bruxelles pour aller à la rencontre des citoyens. Il a ainsi rencontré des centaines de gens qui sont venus lui témoigner leur sympathie, mais aussi leurs inquiétudes. L’agriculteur, le commerçant, l’ouvrier, l’employé, l’entrepreneur, hommes, femmes, jeunes et moins jeunes, Tom Van Grieken a pris le pouls du pays.
La ferveur du public venu assister à cet événement historique était émouvante à voir. Ces 3.000 personnes unies par un idéal commun, c’est-à-dire d’abord et avant tout l’amour de son propre peuple, ont montré que la résignation n’est pas de mise. Un vent d’espoir et d’optimisme souffle à nouveau. Non, il n’y a pas de fatalité. Ni au déclin industriel, ni au déclin démographique et son pendant qu’est le Grand Remplacement, ni à l’impéritie de ce gouvernement fantoche, ni à l’insécurité, ni à l’insalubrité, ni à l’effondrement de l’enseignement.
Comme jamais, le Vlaams Belang est synonyme d’espoir et de renouveau. Les médias francophones ont beau se déchaîner dans l’amalgame, la diffamation et la désinformation, cela n’a plus la moindre importance parce que désormais le peuple dans toute sa diversité s’identifie au Vlaams Belang. Les sondages persistent à annoncer qu’un quart des électeurs voteront pour le Vlaams Belang. Ce ne sont que des sondages, il faut donc rester humbles et prudents, mais cela indique une tendance.
Pour nos amis francophones, il est certainement utile de rappeler que déjà en 2019, le Vlaams Belang avait engrangé 200.000 voix de plus que le PS et 300.000 voix de plus que le MR. Cette réalité électorale est trop souvent cachée aux francophones afin de faire passer le Vlaams Belang pour un parti marginal. Ce fût encore le cas lors de ce fantastique 29 mai, où on a vu la RTBF mettre sur le même pied la contre-manifestation des autoproclamés «antifascistes» qui avaient réuni péniblement, en raclant les fonds de tiroirs, quelque trois cents hurluberlus déjantés et la manifestation du Vlaams Belang qui réunissait 3.000 personnes dans l’ordre et la dignité.
Nous ne faisons pas miroiter, comme les prometteurs de beaux jours, des lendemains qui chantent. Nous affirmons cependant que si chacun, là où il est, mêle ses forces à la nuée des milliers d’autres militants du Vlaams Belang, nous pourrons changer les choses en profondeur, en Flandre, et à Bruxelles.