145 femmes piquées à la seringue en France : la Fête de la Musique vire au cauchemar !

24 Juin 2025 | Nouvelles

Tout le week-end, les images festives de la Fête de la Musique ont abondamment circulé sur les réseaux sociaux. Mais en marge de ces scènes de liesse, d’autres beaucoup plus sombres ont terni le tableau : scènes d’une vulgarité inouïe, agressions, débordements et comportements d’une rare violence.

Parmi les faits les plus préoccupants figure une série d’agressions à la seringue, rapportées dans plusieurs villes. Le ministère de l’Intérieur évoque 145 femmes potentiellement victimes, un chiffre qui alarme autant qu’il interroge.

Les témoignages sont nombreux et troublants. L’un d’eux raconte :
« Ça dansait. D’un coup, une fille a changé de visage. Elle a commencé à tituber, elle se sentait mal et nous a dit : « Je me suis fait piquer ». On a vu un gars partir en courant. On a appelé la police. La fille est tombée dans les pommes. C’est devenu trop dangereux. »

Des messages repérés sur les réseaux sociaux font état d’incitations à piquer des femmes avec des substances inconnues. Les services de toxicologie tentent de déterminer la nature des produits injectés. Dans au moins un cas, celui de Clémence, hospitalisée après les faits, la piste d’un produit anesthésiant est confirmée.

Le phénomène n’est pas isolé à la France. À l’échelle européenne, des signalements similaires se multiplient. Pourtant, l’absence de preuves matérielles tangibles entretient le doute. Libération rapportait récemment qu’en 2022 « ni seringue ni suspect n’ont été retrouvés ; les analyses toxicologiques réalisées sur les victimes sont toutes négatives, même lorsqu’effectuées dans les délais usuels de détection ».

Circulez, il n’y a rien à voir, pour la gauche morale ? Pas de chance, cette fois, on a une liste !

En France, les quatorze suspects placés en garde à vue dans le cadre des incidents de la Fête de la Musique ont été identifiés, selon le média Frontières. Il s’agit d’hommes âgés de 19 à 44 ans, de nationalités diverses, certains en situation irrégulière, plusieurs connus des services de police :

  1. Islam Sellani, 24 ans, Algérien, en situation irrégulière, fiché.
  2. Mohamed Ben Koelifa, 19 ans, Algérien, avec antécédents.
  3. Yasser Bouazza, 21 ans, Français, signalé.
  4. Fadi Limen, 20 ans, Tunisien, en situation irrégulière.
  5. Jacky Daubresse, 26 ans, Français, connu.
  6. Jérôme Mazagran, 37 ans, Français.
  7. Chamseddine Ben Harida, 19 ans, Français.
  8. Ayoub Blal, 35 ans, Marocain.
  9. Walid Chaouch, 25 ans, Algérien.
  10. Raphaël Waldung, 44 ans, Français, passé judiciaire.
  11. Aboubakr Benlany, 35 ans.
  12. Abdel Mohcen Gomri, 20 ans, Français.
  13. Mathis Deradji, 20 ans, Français.
  14. Walid Tanani, 21 ans, Français.

On attend avec impatience les articles de Libération pour commenter la réalité !

La plupart des victimes sont des jeunes femmes, parfois mineures. Les enquêtes sont toujours en cours pour établir les faits avec précision.

Cette ambiguïté laisse place à des interprétations diverses. Pourtant, des faits bien réels alimentent l’inquiétude. Au Royaume-Uni, des agressions à l’acide ou à la seringue, parfois liées à des conflits communautaires ou à des crimes d’honneur, ont été documentées.

Il est temps d’en finir avec l’aveuglement général : ces faits sont d’une gravité absolue ! Ceux qui continuent de nier la réalité sont inconscients et mettent les nôtres en danger.

Le Vlaams Belang sera toujours du côté des femmes dont les libertés et l’intégrité sont menacées.