Réception de nouvel-an du Vlaams Belang bruxellois! Quel succès !
Comme chaque année, c’est à la fin du mois de janvier que le Vlaams Belang bruxellois organise son drink de nouvel-an qui prend traditionnellement place dans les prestigieux locaux de la Vlaams Gemeenschap Commissie, rue du Lombard à Bruxelles.
C’est l’occasion de rencontrer de nouvelles personnalités, de revoir nos amis de toujours et d’échanger sur l’avenir de Bruxelles. Ce fut un véritable événement où chacun s’est montré déterminé à apporter son enthousiasme dans la campagne électorale qui s’amorce et qui verra son point culminant le dimanche 9 juin lors des élections régionales, fédérales et européennes.Nous reproduisons ici dans leur intégralité les allocations de Dominiek Lootens et de Bob De Brabandere, respectivement député et chef de groupe, et sénateur et Président du Vlaams Belang bruxellois.
Nos deux allocateurs principaux ont été présentés par Edmond Jonckheere, le secrétaire de groupe du Vlaams Belang au Parlement bruxellois. Une introduction qui a planté le décor du combat de résistance du Vlaams Belang à Bruxelles contre l’immobilisme et l’impéritie du pouvoir en place, à tous les niveaux dans notre ville. Une ville qui mérite vraiment mieux que cela, une ville qui mérite d’être aimée et respectée.
« Mesdames et messieurs,
Chers membres et sympathisants du Vlaams Belang,
Je vous souhaite à tous la bienvenue dans ce magnifique bâtiment de la Commission communautaire flamande.
Nous sommes réunis ici pour lever un verre à la nouvelle année. Une année d’une importance stratégique et vitale pour notre parti, le Vlaams Belang. Mais aussi pour notre ville et surtout pour nos habitants.
Les choses vont mal pour la Région bruxelloise, et vous le constatez tous les jours. Je ne parle pas seulement des budgets catastrophiques qui sont présentés année après année. Non, je parle du déclin général de la qualité de vie. Bruxelles est devenue une ville où l’application du droit n’est plus qu’un vague souvenir. Une ville où les membres du gouvernement se livrent à un concours d’incompétence. Une ville où on s’invente des problèmes au lieu de résoudre ceux qui existent déjà. Une ville où les illégaux et les terroristes peuvent se promener librement et tirer sur les passants. Une ville où les CPAS sont en faillite à cause de leur succès international. Bref: une ville où le PS est au pouvoir!
Pour la cinquième année consécutive, «Rudi l’endormi» n’a pas pu empêcher Bruxelles de devenir une zone de guerre lors du réveillon du Nouvel An. Dans les quartiers biens connus où vivent les fameux «jeunes bruxellois», la police était littéralement débordée. Comme les autres années, des voitures, des poubelles ou des arbres de Noël ont été incendiés, des tramways et des bus ont été caillassés, des abribus ont été détruits, des caméras de surveillance ont été arrachées et, pire encore, des camions des pompiers et des ambulances ont été prisent pour cible et leurs occupants menacés. Pourtant, Rudi allait tout résoudre… avec une interdiction générale des feux d’artifice…
Comme le disait le bourgmestre de Molenbeek, Moureaux, il y a quelques années: «Si le gouvernement n’organise pas une fête pour les jeunes bruxellois, ils la font alors à leur manière»… Au fond, donc, que des magasins soient pillés, que quelques dizaines de voitures et des maisons sont incendiées ou que des pompiers et des ambulanciers soient attaqués… ce n’est pas vraiment la faute de ces pauvres jeunes allochtones.
Non, selon le PS, c’est la faute de l’extrême droite. L’ancien bourgmestre de Forest, Marc-Jean Ghyssels, m’avait traité de populiste au Parlement parce que j’avais interrogé «Rudi l’endormi» sur ses mesures inadéquates. Eh bien, je le confirme ici: oui, je suis un populiste, mais dans le bon sens du terme. Je suis du côté du peuple, du citoyen honnête qui voit sa ville se dégrader jour après jour et se transformer en une sorte de favela où la violence des gangs dicte la loi. Disons-le sans détours, c’est un état de fait actuel que nous, au Vlaams Belang, nous n’accepterons jamais!
Les élections à venir sont cruciales pour tous les Bruxellois amoureux de leur ville. En réalité, la violence permanente des gangs n’est pas sortie de nulle part. Non, la violence des gangs est le résultat d’années d’intimidation de la part de jeunes allochtones et du laxisme des autorités publiques à leur égard.
Vous vous souvenez sans doute de ce que disaient les partis du système jusqu’à récemment: il faut intégrer ces jeunes et faire en sorte que les nouveaux arrivants trouvent leur place dans la société. Avec des lois anti-discrimination, des projets sociaux et surtout beaucoup d’argent. Les immigrés allaient demain faire partie de la société, s’y intégrer et s’y fondre.
Que reste-t-il de cela? Rien du tout.
Le mot intégration a complètement disparu des débats. On ne parle plus d’intégration mais de «respect des différences», de «la beauté du multiculturalisme» et de «l’éloge de la diversité».
Et quel est le résultat de tout cela?
Une société où vous avez seulement le droit de vous taire, de payer vos impôts et de vous auto-convaincre combien nos normes et nos valeurs sont injustes et oppressantes pour tous ces malheureux nouveaux arrivants.
Chers amis, nous, au Vlaams Belang, nous avons quelque chose que tous les partis du système n’ont pas: l’amour pour notre pays, l’amour pour notre culture et surtout l’amour pour notre peuple.
C’est pourquoi nous continuons de nous opposer à quiconque souhaite effacer notre folklore, nos traditions ou notre histoire. Avec le Vlaams Belang, vous pouvez célébrer Saint-Nicolas avec Père Fouettard, aller au marché de Noël ou laisser vos enfants profiter des vacances de Pâques. Avec le Vlaams Belang, les statues resteront là où elles sont et votre rue ne sera pas soudainement rebaptisée, avenue Lumbumba et vous ne prendrez pas demain le métro à la station Kasa Vubu. Avec le Vlaams Belang, la croix restera sur le clocher de l’église et ils seront autorisés à construire des minarets… en Turquie. Il est temps de dire que ça suffit. C’est notre pays et celui de personne d’autre!
Les élections du 9 juin ne se résument pas au simple renouvellement des parlements. Non, les élections de juin de cette année visent à envoyer un signal clair. Un signal que nous, citoyens de bonne volonté, nous ne voulons pas vivre demain dans une société islamisée.
Les exemples de l’avancée de l’islamisation ne manquent pas: à Schaerbeek on peut se baigner en burkini, à Bruxelles on peut abattre des animaux sans étourdissement, tandis que dans le reste du pays cela n’est plus autorisé depuis deux ans.
Rappelons-nous la polémique à la STIB, la tentative de nomination d’Ihsane Haouach, une dame voilée, par Ecolo comme commissaire du gouvernement de l’Institut pour l’égalité entre les femmes et les hommes ou encore le meilleur comédien du pays, Raoul Hedebouw, le président du PTB, qui ne voit aucun problème à envoyer des enfants de 8 ou 9 ans à l’école avec un foulard.
Plus que jamais, le vote ethnique est le vivier des partis de gauche. Il suffit de regarder la liste PS de la ville de Bruxelles lors des précédentes élections communales. Aux places 10 et 11, il y avait des noms à consonnance belge, ils ne sont pas élus, mais aux places 13 et 14 occupées par Mustapha et Fatima, ils sont élus. Place 15 à 17, des noms occidentaux, pas élus, mais en place 18, un nom étranger… élu, etc, etc, etc… il est clair que pour les électeurs allochtones du PS bruxellois, le vote ethnique est un système qui fonctionne parfaitement.
La palme d’or revient à la commune de Saint-Josse-ten-Noode, où le bourgmestre est Emir Kir, célèbre partisan d’Erdogan, dont un seul des huit échevins est d’origine européenne. Pas moins de 17 des 29 membres du conseil communal sont allochtones.
N’oublions pas que non seulement les partis francophones mais aussi des partis comme l’Open VLD, le MR, les Engagés, Défi ou la N-VA sont aujourd’hui pleinement engagés dans cette volonté de captation des votes allochtones. Rappelons ici, à titre d’exemple que sur la liste de la N-VA à Molenbeek se trouvait un certain Naoual Hamdani un trasfuge venu du PS vers… la N-VA.
Les conséquences de tout ceci sont évidentes. Ce que nous avons vu auparavant à Molenbeek et à Saint-Josse, à savoir une politique extrêmement laxiste qui ne fait guère obstacle aux bandes constituées essentiellement de jeunes allochtones, aux criminels et même aux terroristes, se propage désormais comme une marée noire dans le reste de la capitale. Molenbeek et Saint-Josse formaient déjà respectivement des ghettos marocain et turc au cœur de l’Europe. Bruxelles Ville, Anderlecht, Schaerbeek, mais aussi Forest, Saint-Gilles et bien d’autres communes bruxelloises suivent le même chemin.
Cela donne bien sûr aux Bruxellois l’avantage de la clarté.
Début juin, nous devons tous aller voter et nous auront alors le choix. Soit, nous choisissons les partis qui acceptent les diktats de la racaille, soit nous choisissons le seul parti qui veut défendre les intérêts des vrais Bruxellois.
Les Bruxellois de bonne volonté, francophones et néerlandophones doivent se battre côte à côte pour sauver leur ville. Il n’y a qu’un parti assez puissant pour fédérer toutes ces bonnes volontés, et c’est le Vlaams Belang, c’est mon intime conviction.
Merci pour votre attention chers amies et chers amis du Vlaams Belang!
«Chères amies et Chers amis,
C’est toujours une tâche difficile d’être le dernier orateur lors d’un événement comme celui-ci. En effet, celui-ci se trouve dans une position assez délicate. Je me retrouve entre nos invités d’un côté et les boissons et rafraîchissements de l’autre côté. Le dernier obstacle, pour ainsi dire.
Que faut-il dire alors? Dois-je vous répéter que ça ne va pas bien à Bruxelles? Non, parce que les orateurs précédents l’ont déjà largement fait. Et, soyons honnêtes, vous savez tous déjà parfaitement bien ce qui ne va pas dans notre ville. Alors, nous allons ensemble lever notre verre pour cette nouvelle année.
Une année 2024 qui sera décisive. Nous sommes aujourd’hui le 28 janvier et cela signifie qu’il nous reste exactement 133 jours avant de nous rendre aux urnes pour décider de notre avenir.
Le 9 juin, les Bruxellois auront le choix entre les mêmes partis qui ont tous contribué à détruire notre ville et le Vlaams Belang. Il n’y a pas d’autre choix! C’est l’un ou l’autre!
Notre parti deviendra le plus grand parti de Flandre et du pays. Pour la Flandre, ces élections posent la question de l’impact du Vlaams Belang sur les politiques menées dans les années à venir.
Mais aussi, comment, depuis la Flandre, le Vlaams Belang pourra faire pression sur les choix politiques à Bruxelles. Une pression salutaire pour mettre fin aux gouffres budgétaires, pression pour l’établissement d’une vraie politique de sécurité, pression pour le développement d’une politique de mobilité où les usagers peuvent circuler normalement au lieu d’être paralysés.
Mais, chers amis, à Bruxelles, voter pour le Vlaams Belang a aussi une autre fonction. Nous sommes le porte-voix du simple Bruxellois qui est ignoré et méprisé depuis des années par le pouvoir politique dans cette ville.
C’est probablement là le plus gros problème à Bruxelles. La «Bruxellitude» politique à Bruxelles, c’est balayer les problèmes sous le tapis du politiquement correct. Un changement civilisationnel? «Où ça?», disent-ils. L’islamisme radical? «Ça n’existe pas», disent-ils. L’Insécurité? « N’exagérons-pas», disent-ils. Des problèmes de mobilité? «Pas à Bruxelles», disent-ils. De la saleté dans la rue? «Ça ne va pas si mal», disent-ils.
La réalité est que quiconque ouvre les yeux constate que les faits montrent autre chose. Nous devons changer de cap avant que les problèmes ne s’aggravent encore. Et la première étape de ce processus consiste à identifier clairement et sans tabous les problèmes. Et ça, c’est la mission que le Vlaams Belang s’est donné au Parlement bruxellois. Parler, là où les autres restent silencieux. Aborder les vérités difficiles à entendre par nos adversaires et les décrire haut et fort pour faire en sorte qu’elles ne puissent plus être ignorées.
C’est pourquoi les élections du 9 juin revêtent une importance cruciale.
Le mégaphone du Vlaams Belang doit être amplifié. La voix des Bruxellois doit retentir avec force. Si fort que les tours d’ivoire des politiciens déconnectés du réel seront ébranlées jusqu’à leurs fondations.
Pour y parvenir, nous devons aller à la rencontre des électeurs avec une équipe la plus forte possible. Je suis donc fier d’annoncer ici aujourd’hui que c’est très exactement ce que nous allons faire. Nos listes sont loin d’être finalisées et je sais que beaucoup d’entre vous sont impatients de se retrousser leurs manches, mais je peux déjà vous dire que j’aurai l’honneur de prendre la tête de liste pour le Parlement bruxellois. C’est un grand honneur, mais c’est surtout une très grande responsabilité. La responsabilité de vous défendre au mieux, vous, les Bruxelloises et les Bruxellois. Heureusement, je ne dois pas assumer cette responsabilité seul. Je suis soutenu par une équipe soudée et très efficace.
C’est ainsi que notre liste sera renforcée à la deuxième place par une dame courageuse que vous apprendrez bientôt à bien connaître. Une entrepreneuse qui sait exactement ce qui ne va pas à Bruxelles et qui en a assez de la corruption et de l’inertie qui minent notre ville depuis si longtemps. Puis-je vous demander vos applaudissements les plus chaleureux pour Sonja Hoylaerts (deuxième de liste pour le Parlement bruxellois)!
Le jeune homme qui vous a accueilli ici aujourd’hui connaît désormais presque tout le monde. Il est un pilier de notre parti à Bruxelles depuis plusieurs années. Edmond Jonckheere (troisième de liste pour le Parlement bruxellois), Bruxellois d’origine, a vu sa ville changer radicalement ces dernières années. La politique est sa passion depuis qu’il est adolescent, et aujourd’hui il met sa passion et sa détermination au service de notre combat. Il sera le troisième sur la liste pour le Parlement bruxellois.
Mais, beaucoup d’entre vous se demandent certainement, et quid de Dominiek Lootens, notre homme fort au Parlement bruxellois depuis toujours?
Eh bien, chers amis, j’ai une bonne nouvelle à vous annoncer. Son expérience va, une fois de plus, se révéler très précieuse. Dominiek Lootens a accepté de prendre la tête de liste pour le Parlement flamand à Bruxelles. Après le 9 juin, il déploiera toute son expérience et tout son talent pour mettre à l’ordre du jour en Flandre les problèmes omniprésents à Bruxelles.
Chers amis,
Ceci n’est que la première étape de la constitution des listes. Il reste encore de nombreux candidats à trouver. De nombreuses personnes nous ont déjà posé la question de savoir quelle place nous envisageons pour elles sur les listes ou elles demandent ce qu’elles peuvent faire pour aider. Cela me fait évidemment très plaisir parce que nous avons besoin du soutien de tous.
Pour parvenir au meilleur résultat possible le 9 juin 2023, nous diffuserons partout notre message d’espoir. Nous savons qu’il ne faut pas compter sur les médias aux ordres du pouvoir, mais peu importe, le Vlaams Belang ira là où il se sent le mieux, c’est-à-dire parmi les gens. Nous irons de porte à porte à la rencontre des Bruxellois, nous les convaincrons qu’il est grand temps de passé à autre chose, à quelque chose de mieux et que pour cela, le seul choix est d’exprimer un vote pour le Vlaams Belang! Cela, nous le ferons avec vous.
Si vous souhaitez militer et/ou figurer sur l’une des listes, merci de nous le faire savoir. Vous pouvez nous en informer dès aujourd’hui.
Mais avant de se lancer corps et âmes dans ce combat titanesque pour un Bruxelles différent et où nous vivrons mieux, je suis très heureux de lever avec vous le verre de l’amitié».