Plus d’un million de demandes d’asile dans l’UE en 2023
C’est ce qu’affirme l’Agence européenne pour l’asile. En octobre, le plus grand nombre de demandes d’asile mensuelles a même été enregistré depuis sept ans. «Cela ne s’arrête pas. L’Europe est au milieu d’une crise massive de l’asile et nos dirigeants font l’autruche. Pire encore, ils se félicitent mutuellement d’avoir conclu un pacte sur la migration qui accroîtra encore les flux migratoires vers l’Europe», déclare Tom Van Grieken, le Président du Vlaams Belang.
Ce n’est un secret pour personne que le nombre de demandeurs d’asile arrivant en Europe ne diminue pas. Les chiffres publiés par l’Agence européenne pour l’asile montrent désormais également l’ampleur énorme de ce flux. L’agence ne s’attend pas non plus à une diminution de ces chiffres dans les années à venir. «C’est pourtant ce que l’on essaye de faire croire aux Européens avec ce miroir aux alouettes qu’est ce fameux (fumeux !) «Pacte migratoire européen», explique Tom Van Grieken, avant d’ajouter: «Il était clair que ce pacte ne fera que créer davantage de demandeurs d’asile et de migrants. Nos frontières sont aussi étanches qu’une passoire et nos soi-disant dirigeants refusent tout simplement de mettre en œuvre une politique de sauvegarde».
Le Vlaams Belang milite depuis des années en faveur de l’établissement d’une «forteresse Europe» afin de mettre un terme aux flux migratoires effrénés vers l’Europe. Nos frontières extérieures sont inexistantes. Nous devons impérativement nous concentrer sur la création de barrières physiques aux frontières du continent et établir que toute personne qui entre illégalement sur notre territoire perd de facto le droit, à jamais, de déposer une de demande d’asile ici».
Ces chiffres dramatiques indiquent qu’une dérogation au droit européen en matière d’asile et de migration est nécessaire. Ainsi, le Danemark dispose d’une option de non-participation et peut donc mener une politique beaucoup plus efficace dans l’intérêt de ses citoyens. Nous ne devons plus rien attendre d’une Union européenne dont la politique consiste en la matière à simplement laisser la situation pourrir, même au risque de voir les sécurités sociales des pays membres s’effondrer sous le poids social de cette immigration très majoritairement clandestine. On peut réellement parler ici d’un crime contre nos peuples européens et ce crime est perpétré par les vieilles forces politiques qui s’imaginent pouvoir survivre grâce à ces nouveaux électeurs potentiels. Il n’y a pas pire cynisme.