Vue sur la Flandre: un sondage confirme la fin du cordon sanitaire

Le Vlaams Belang se réjouit d’un nouveau sondage paru dans Het Nieuwsblad, sondage réalisé dans toutes les villes importantes en Flandre. Celui-ci montre clairement que le Vlaams Belang progresse partout. «Le sondage montre que le cordon sanitaire antidémocratique est devenu intenable presque partout. Ce n’est qu’un sondage, mais il y a une tendance qui se dessine. La Flandre aspire au changement», déclare Tom Van Grieken, le très dynamique président du Vlaams Belang.

Le Vlaams Belang réalise des progrès significatifs dans toutes les villes importantes. Par exemple, le parti a obtenu 22,5 % des intentions de vote à Alost et 22,6 % à Saint-Nicolas. A Turnhout, ce chiffre monte même jusqu’à 26,4 %. Pour Tom Van Grieken, «le cordon a depuis longtemps dépassé sa date de péremption, également sur le plan local». Het Nieuwsblad a également révélé que dans 13 villes flamandes, une majorité des habitants souhaite se débarrasser du système d’exclusion qui gangrène la démocratie depuis des décennies, à savoir le cordon sanitaire politique autour du Vlaams Belang. A Alost, Genk, Roulers, Saint-Nicolas et Turnhout, par exemple, c’est l’opinion de plus de 55 % des habitants.

Contrairement au petit club des présidents des partis politiques du système, la plupart des gens, localement, pensent que c’est la chose la plus naturelle du monde que l’on considère le Vlaams Belang comme un interlocuteur avec qui on peut former une coalition pour diriger au mieux, dans les intérêts des habitants, une ville ou une commune. Un bourgmestre sur cinq affirme également sans ambiguïté qu’il n’est pas possible d’isoler ou d’exclure d’avance un Vlaams Belang qui est devenu un parti populaire incontournable.

 Il est difficile d’imaginer quelque chose de plus antidémocratique que ce cordon. Nos concitoyens ont soif de changement et nous sommes convaincus que la démocratie prévaudra en 2024 et que le cordon sera brisé dans plusieurs communes. La conséquence directe de cette évolution est que nous pourrons ainsi, enfin, proposer aux citoyens des politiques qui reflètent les résultats des élections. Chaque démocrate honnête ne peut qu’applaudir à cela.