Revenu d’intégration: les étrangers coûtent beaucoup d’argent
Le nombre de revenus d’intégration (ex-minimex) octroyés en Belgique a plus que doublé en vingt ans. Soyons objectifs, il n’y a pas seulement le noyau dur des personnes qui ne veulent pas travailler en Wallonie et à Bruxelles, il y a aussi les étrangers en constituent une part croissante de ces allocataires sociaux. En 2022, pas moins de 40 % de ces revenus d’intégration leurs étaient destinés. Si nous voulons que notre sécurité sociale reste finançable, nous devons d’abord la protéger contre les coûts sociaux exorbitants que ces nouveaux arrivants engendrent et bien sûr fermer nos frontières.
En février de cette année, la Belgique comptait 156.897 revenus d’intégrations versés, soit plus du double par rapport à il y a vingt ans. Cela ressort du chiffre le plus récent publié par le ministère de l’Intégration sociale. En 2003, il n’y avait qu’un peu plus de 74.000 revenus d’intégration reconnus, ce qui correspondait à 0,7 % de la population qui vivait de ce revenu d’intégration. Aujourd’hui il est de 1,34 %. En raison de l’augmentation des montants de ces revenus par le gouvernement, la facture totale pour cette année est estimée à un montant record de plus de 1,5 milliard d’euros. Les chiffres montrent également que le nombre d’octrois de ces revenus a fortement augmenté sous le gouvernement Michel, lorsque la N-VA était dans le gouvernement fédéral. Depuis lors, leur nombre n’a cessé d’augmenter. Pas moins de 46% de ce montant astronomique sont distribués en Wallonie, 29% à Bruxelles et un peu plus de 25% en Flandre.
La pénible réalité est qu’Il y a de plus en plus de personnes qui refusent de travailler en Wallonie et à Bruxelles. Il faut dénoncer ici la très mauvaise gestion belge en général et il faut souligner que cette situation coûte surtout de l’argent au contribuable Flamand.
Selon le Vlaams Belang, la presse et les partis traditionnels feignent d’ignorer la véritable cause du doublement du nombre de ces revenus d’intégration. La réalité nue est que ce sont les étrangers qui représentent une part croissante de ces coûts. En 2022, le gouvernement fédéral a dépensé plus de 1,25 milliard d’euros en revenus d’intégration, dont 40% sont allés à des non-Belges. De plus, la majeure partie de cette somme est allée à des citoyens non européens, qui représentaient 31 % du montant total des revenus d’intégration versés.
Notre sécurité sociale doit être protégée et doit être dévolue à notre propre peuple. Si nous voulons rester protégés par notre solidarité sociale, nous devons d’abord et avant tout fermer nos frontières. Pas par haine des autres, mais par amour pour notre propre peuple.