Un gouvernement catastrophe et le coma bruxellois
Je pense que nous serons tous d’accord si j’affirme que nos concitoyens n’ont jamais été aussi dégoûtés par un gouvernement que par celui-ci. Rappelons-nous qu’il avait été fabriqué avec tous les partis politiques qui avaient perdus des plumes lors des élections de mai 2019, dont l’Open VLD, le parti d’Alexander De Croo, qui n’avait réussi à séduire que 10% des électeurs en Flandre. Par contre, ces mêmes élections avaient consacré la résurrection du Vlaams Belang qui devenait le deuxième parti du pays en engrangeant 300.000 voix de plus que le MR et 200.000 voix de plus que le PS, par exemple. Aujourd’hui, le Vlaams Belang est crédité de 25% des intentions de vote, sondage après sondage.
Pourquoi cette progression spectaculaire du Vlaams Belang?
Pour deux raisons: l’effondrement des vieux partis politiques qui implosent littéralement en raison l’impéritie de leurs responsables et évidemment en raison des qualités propres d’un Vlaams Belang dirigé avec un professionnalisme jamais vu en politique dans ce pays par son Président Tom Van Grieken. Le Vlaams Belang séduit l’ensemble de notre société: les jeunes, les moins jeunes, les agriculteurs, les ouvriers, etc… parce que, comme le dit Tom Van Grieken, «le nationalisme c’est d’abord et avant tout un amour immodéré pour son propre peuple», et les gens ressentent cela. Ils le ressentent d’autant plus qu’ils constatent chaque jour l’incroyable arrogance et l’incompétence tragique des représentants de ces vieux partis.
Rappelons-nous le dramatique épisode des masques détruits en non remplacés au début de la crise sanitaire. Rappelons-nous l’incapacité à concevoir une véritable réforme des pensions, de même pour la réforme fiscale. Ce devait être les fleurons de cette législature, ce ne sera que deux constats d’un lamentable échec général. L’espace me manque pour énumérer dans le détail cette débandade politique.
Bruxelles est dans le coma
Dans 8 mois, la balle sera dans le camp des électeurs. A Bruxelles, les médias ne parviennent plus à cacher la réalité sur le niveau d’insécurité que le Vlaams Belang révèle et dénonce depuis des années. Personne ne pourra plus dire: «je ne savais pas». Chacun devra se poser la question le 9 juin 2024, dans l’isoloir au moment de voter, de savoir dans quelle société et dans quelle ville il veut vivre, dans quelle ville il veut voir grandir ses enfants et lui-même se voir vieillir. Bruxelles est aujourd’hui dans le coma parce que ceux qui la dirigent sont complétement dépassés par la situation, leur encéphalogramme politique est plat, et la ville est de plus en plus aux mains de communautés dont certains membres s’investissent dans la criminalité et d’autres… en politique.
Le Vlaams Belang est prêt à prendre ses responsabilités, il est prêt à gouverner, il est prêt à remettre de l’ordre. Faites-lui confiance et essayez de convaincre vos proches. Contactez-nous et aidez-nous, ensemble nous pouvons déplacer des montagnes.