Fact check : quasi la moitié des «Belges» d’origine non européenne n’ont pas d’emploi
Le gouvernement fédéral a publié les chiffres de l’emploi basés sur l’origine ethnique. Environ la moitié des «Belges» d’origine non européenne n’ont pas d’emploi. Les résidents d’origine nord-africaine travaillent le moins. Le taux d’emploi de ce groupe est de 25 % inférieur au taux d’emploi des Belges de souche. Même s’ils sont ici depuis des générations. Le Vlaams Belang plaide pour un arrêt de la migration. Les «penseurs» de gauche construisent leur raisonnement immigrationniste sur des notions fausses, comme cette croyance absurde selon laquelle ce sera l’immigration qui financera nos pensions. La réalité chiffrée dit exactement le contraire.
Pas moins de 45 % des ressortissants étrangers d’origine non européenne sont au chômage. C’est 20% de plus que les autochtones. Le mythe selon lequel nous avons besoin d’immigrants pour financer notre sécurité sociale s’écroule une fois de plus avec fracas. C’est précisément cette immigration qui dilapide nos ressources de solidarité sociale. Elle en annonce la faillite.
Il est également frappant de constater que les «Belges» d’origine nord-africaine font encore pire. Pas moins de 49 % de ce groupe ne travaillera pas. C’est 25 % de moins que le taux d’emploi des Belges de souche. Les cultures des pays arabes comme le Maroc et la Tunisie sont trop différentes des nôtres, c’est ce qui explique le fait que les femmes issues de ces cultures-là ne peuvent pas toujours travailler, sans compter le mépris pour nos valeurs occidentales qui est de plus en plus présent dans ces communautés extrêmement repliées sur elles-mêmes.
Pour atteindre un taux d’emploi de 80%, comme le souhaitent les gouvernements en place, il faut l’indépendance flamande, avec sa propre politique du marché du travail, la protection de son système de sécurité sociale et un arrêt de la migration. Dans le cadre belge, aucune réforme structurelle, ni aucune politique coercitive contre le déferlement migratoire, n’est possible. Voilà pourquoi la Flandre doit devenir maître de son destin.