La pantalonnade de la rue des Palais
Depuis des semaines les médias du Nord comme du Sud du pays font leurs choux gras de la situation dans les anciens bâtiments des impôts dans la rue des palais à Schaerbeek. Ce bâtiment inoccupé est squatté par toute une population composée de candidats à une demande d’asile, des illégaux et des sans domicile fixe. Une population venue de toutes les régions du monde, avec des mœurs parfois très différentes et des notions de la vie en société qui ne correspond pas toujours avec les nôtres ou celles de leurs «cohabitants». Résultat: des bagarres sanglantes, une situation de l’hygiène déplorable, des dangers épidémiologiques considérables et finalement, une autorité publique complètement dépassée, paralysée par l’attentisme, la peur des ligues et des associations toujours prêtes à hurler aux «droits de l’hommes» et au racisme d’Etat, sans oublier bien entendu l’angoisse liée au probable score électoral explosif du Vlaams Belang en 2024 que tous les vieux partis redoutent.
La situation avait fini par tellement se dégrader sous l’œil ébahi de la presse étrangère, mais surtout des riverains. D’où l’idée de faire vider les lieux manu militari ce mercredi 15 février. Seulement voilà, comme il fallait s’y attendre l’opération s’est déroulée de façon parfaitement chaotique. On a vu une masse d’individus canalisée le long des rues avoisinantes qui scandaient « Fuck Belgium » (voir la vidéo ici) avec entrain. On a vu ensuite les demandeurs d’asile confirmés et éventuels dirigés vers des bus qui devaient les acheminer vers un hôtel de la périphérie flamande de Bruxelles, sans que la Région flamande en soit informée et sans que le bourgmestre de Sint-Pieters-Leeuw ne soit mis au courant non plus. Ceci est un scandale absolu quand on voit dans quelles difficultés les plus fragiles de nos compatriotes se démènent pour survivre.
Dans le même élan de nombreux anciens «locataires» de la rue des Palais se sont retrouvés dans le quartier du Petit-Château où ils ont dormi dans des tentes. Un exemple édifiant du foutoir généralisé bruxellois. Pour le Vlaams Belang cette situation n’aurait jamais dû avoir lieu parce que ces personnes n’auraient jamais dû arriver jusque chez nous. Plus que jamais, nous défendons l’idée que les réfugiés doivent être accueillis dans leur propre région du monde en non pas ici, à des milliers de kilomètres de leur pays d’origine. Plus que jamais, nous défendons l’idée que les personnes en séjour illégal dans notre pays doivent être placées dans des centres fermés en attendant leur rapatriement. Plus que jamais nous défendons l’idée que personne ne doit être en situation de devoir dormir dans la rue. Plus que jamais, nous pensons qu’il faut en revenir au plus élémentaire bon sens en faisant montre de courage, notamment en refusant le chantage émotionnel à bon marché que les «moralisateurs» de la gauche bobo exercent sans vergogne. Pour le Vlaams Belang, faire de la politique c’est d’abord prendre ses responsabilités, d’abord et avant tout vis-à-vis de NOS GENS! Ce samedi 18 février, le Vlaams Belang organise une manifestation de protestation devant l’hôtel où sont hébergés un certain nombre d’anciens « locataires » de la rue des Palais.