Attaque au couteau à la gare du Midi: ce n’est pas un fait-divers!
Il y a une petite semaine, une personne a été blessée par un homme armé d’un couteau de boucher en pleine gare de Bruxelles-Midi. La vérité est que c’est que parce que le Vlaams Belang a diffusé les images de cette agression sauvage que les médias en ont parlé. Nous ne pouvons pas accepter que de tels incidents gravissimes soient désormais considérés comme des faits divers. Il faut oser nommer les choses comme elles sont: nous avons affaire ici à un migrant hyperviolent, comme c’est malheureusement trop souvent le cas.
Les circonstances exactes de ce déferlement de sauvagerie ne sont toujours pas claires pour le moment. Les images montrent comment un homme à la peau foncée a brandi un grand couteau de boucher et s’en est servi pour attaquer une personne. L’auteur a pu être interpellé sur place par deux courageux agents de sécurité. La victime a été transportée à l’hôpital, mais heureusement ses jours ne sont pas en danger. Bien que l’attaque au couteau ait eu lieu le matin, ce n’est que tard dans la nuit qu’elle a été rapportée dans les médias.
Répétons-le, c’est uniquement parce que le Vlaams Belang a diffusé les images que les médias en ont fait état, sinon cet incident risquait d’être dissimulé. Pour nous, une attaque au couteau dans une gare en plein jour n’est pas un «fait-divers». Il y a une semaine, une attaque au couteau a également eu lieu à la Gare du Nord à Paris où pas moins de six personnes ont été blessées et où l’agresseur a été abattu.
Pour le Vlaams Belang il est essentiel que ces agressions de plus en plus sauvages soient discutées. Cela fait partie d’un problème plus large et de plus en plus courant. Nous ne devrions pas faire d’euphémisme à ce sujet. Il n’y a pas de «problème de couteaux» comme certains le prétendent. Il y a un problème avec les immigrants agressifs qui rendent nos villes invivables. Seul le Vlaams Belang souligne ce fait avéré, ce qui montre combien notre société est malade et combien ceux qui ont aujourd’hui le pouvoir vivent dans le déni et même le mensonge.