Rendre Bruxelles plus sûre pour les femmes au lieu du délire woke
Le conseil communal de la ville de Bruxelles, cornaqué par le bourgmestre Philippe Close (PS) va «rendre l’espace public de la capitale moins masculin». Une fantaisie parfaitement inutile que personne ne demande, affirme le Vlaams Belang. Pour le Président du Vlaams Belang bruxellois, Bob De Brabandere, les choses sont très claires: «Je préfère rendre notre capitale plus sûre pour les femmes plutôt que de livrer Bruxelles à un délire woke sur des questions tellement anecdotiques qu’elles ne suscitent l’intérêt de personne». Il ajoute: «Les actes de violences sexuelles deviennent incontrôlables à Bruxelles, mais le bourgmestre Close et ses amis préfèrent ignorer l’essentiel au profit des marottes du temps. De plus en plus de Bruxellois se demandent si tout cela ne relève pas de la psychiatrie».
Selon le conseil communal de Bruxelles, la ville est « trop masculine », relaie De Standaard. C’est pourquoi on «expérimentera des développements urbains sensibles au genre». Le skate parc de la rue des Ursulines sera abordé en premier. Désormais les peintures murales devront être différentes parce qu’elles sont trop masculines actuellement. Bref, pour ces agités du bocal, la ville et ses espaces publics sont conçus par des architectes et des urbanistes masculins qui s’adressent à essentiellement aux hommes et il faut que cela change vite fait.
Rendre Bruxelles plus féminine en garantissant à nouveau la sécurité
«Si les femmes se sentent mal à l’aise, ou pire: en danger, ce n’est pas à cause du manque de couleurs de l’arc-en-ciel sur le béton», martèle Bob De Brabandere, «C’est à cause de crimes tels que les violences sexuelles et de l’incapacité de l’autorité communale à agir pour juguler cette insécurité chronique qui est la cause du malaise des femmes dans la ville».
Trop de femmes sont harcelées, intimidées ou agressées dans les rues de la capitale. Si nous voulons refaire de Bruxelles une ville accueillante pour les femmes et pour tous nos concitoyens, nous devons nous y atteler maintenant, sans perdre de temps et d’argent avec des cornichonneries woke. Il doit être à nouveau possible de se promener en toute sécurité à Bruxelles, pour les femmes bien sûr, mais aussi pour nos enfants et nos aînés, qui sont également la cible de criminels sans scrupules qui n’hésitent pas à les frapper sauvagement pour leur dérober quelques bijoux ou les quelques euros contenus dans leur porte-monnaie. Les auteurs de violences sexuelles doivent être arrêtés et rapidement et sévèrement condamnés. Par ailleurs, il faut que les peines prononcées soient effectivement purgées. Il doit également y avoir suffisamment de patrouilles de police dans les zones à risques qui sont bien connues. Enfin, il ne faut pas ignorer la grande composante culturelle de ce dossier: au sein de nombre de communautés immigrées, le respect de la femme est quasi inexistant, notamment celles d’origine islamique. Les femmes sans foulard par exemple sont ostracisées et maltraitées. Le Vlaams Belang n’acceptera jamais que ces mœurs rétrogrades et archaïques prédominent dans des pans entiers de notre Région. Tout véritable démocrate se doit de se dresser contre ces pratiques barbares.