Le revenu d’intégration est une pompe aspirante
L’année dernière, le gouvernement fédéral a dépensé 1,15 milliard d’euros pour le paiement du revenu d’intégration (anciennement minimex), selon les chiffres demandés par la députée fédérale Ellen Samyn (Vlaams Belang). «Seuls 59% de ce montant colossal vont aux Belges eux-mêmes, le reste est versé à des citoyens européens et non européens. Ils empochent donc pas moins de 41% de ce montant. Ce sont 365 millions d’euros, vous avez bien lu 365 millions d’euros, qui ont été versés à des migrants venus du dehors de l’Europe en 2021», constate Ellen Samyn.
Les habitants des pays de l’UE qui vivent ici, mais qui n’ont soi-disant aucun moyen de subsistance, transfèrent près de 100 millions d’euros de revenus d’intégration par an sur leurs comptes en banque. Ce sont Bruxelles et la Wallonie qui se montrent les plus généreux puisque 72 % du nombre total de bénéficiaires de l’aide y vivent. Les conditions d’octroi doivent y être particulièrement attractives.
C’est une preuve supplémentaire que le poids de la facture migratoire sur notre sécurité sociale devient insupportable au point de mettre en péril le système tout entier. En plus d’un taux de chômage élevé chez les migrants (pas moins de 44 % à Bruxelles), une autre partie d’entre eux reçoit donc un ticket gagnant du Win For Life via le revenu d’intégration. Le gouvernement Vivaldi, qui n’a pas pu trouver d’argent pour financer de manière permanente une réduction de la TVA sur l’électricité et le gaz pour notre propre peuple, donne près d’un demi-milliard par an via le revenu d’intégration aux migrants qui n’ont pour la plupart rien à faire ici.
Et pourtant la Vivaldi persiste et signe en maintenant ouvertes les filières migratoires par toutes sortes de détours, afin disent-ils de pourvoir aux emplois dans les secteurs en manque de personnel. C’est-à-dire donc en continuant à permettre l’immigration économique. De tels chiffres montrent clairement qu’il s’agit d’un mauvais raisonnement. Ces migrants ne viennent pas pour travailler et ils savent très bien qu’ils peuvent très facilement profiter de notre système social incroyablement généreux. Pour le Vlaams Belang il est plus que temps de voir les choses comme elles sont, sans hypocrisie et sans angélisme puéril. Il faut arrêter de jouer au CPAS du monde et il faut surtout remettre nos gens à la première place, partout et tout le temps.