La sécurité est un droit fondamental, il n’y a pas de liberté sans sécurité
La situation de la sécurité à Bruxelles est devenue complètement incontrôlable. Il y a des quartiers entiers où même la police n’est plus en sécurité, et donc le citoyen ordinaire l’est encore moins. Les femmes n’osent plus y sortir seules après le soir et parfois même en pleine journée. Les commerçants sont molestés, braqués, volés et vandalisés. Beaucoup de Bruxellois hésitent à sortir le chien après le coucher du soleil. Les trafiquants et usagers des drogues font désormais partie du paysage urbain et gare à celui ou celle qui aurait l’outrecuidance de s’en plaindre ouvertement. Les Bruxellois connaissent que trop bien ces problèmes mais les politiciens des partis du système les ignorent. Il est donc temps d’adopter une approche différente.
Cette approche doit rompre avec l’angélisme et les effets d’annonce rassurants qui ne servent qu’à cacher les faits. Personne de sensé ne peut comprendre pourquoi les autorités politiques et même policières (à partir d’un certain grade dans la police il faut la carte du «bon» parti, notamment pour devenir commissaire en chef d’une zone de police à Bruxelles par exemple) refusent de nommer un chat un chat et un jeune criminel allochtone un jeune criminel allochtone.
Il y a un lien direct, évident et incontestable entre la criminalité et l’immigration. La répartition de la population carcérale le démontre et il suffit de faire un tour au Palais de Justice de Bruxelles le matin pour comprendre la gravité de ce problème. Pourtant il est très difficile d’avoir des statistiques officielles parce que le profilage ethnique est interdit. Comme si le fait de nier l’évidence allait empêcher les gens de comprendre ce qui se passe. La toute première chose à faire consiste donc à évacuer les tabous puérils qui empêchent de faire une étude objective de la criminalité. C’est la base scientifique indispensable pour réfléchir de façon sérieuse aux problèmes que nous rencontrons et qui sont devenus gigantesques et quasi insoluble en raison de l’omerta d’Etat qui est imposée sur ces questions.
Il n’est plus utile de rappeler que le Vlaams Belang est le seul parti qui fait de la sécurité et de l’immigration deux thèmes essentiels de son travail politique. Par contre, il n’est pas compréhensible que ces deux thèmes soient pratiquement totalement ignorés par les autres partis du paysage politique de notre pays.
Sans sécurité il n’y a pas de liberté: la liberté de réunion, la liberté de se déplacer, la liberté de s’exprimer sans risquer de représailles, liberté d’entreprendre sans risquer d’être racketté et/ou blessé, liberté d’habiter où on le souhaite, liberté de choisir un établissement scolaire pour nos enfants où les valeurs européennes et notre mode de vie, y compris de se nourrir, restent majoritaires. Liberté de manger en rue en période de ramadan, liberté pour les femmes de s’habiller à l’européenne dans toutes les rues de Bruxelles sans risquer de se faire insulter et cracher dessus, liberté de ne pas être d’accord avec les dogmes multiculturels et de le dire haut et fort, liberté de dire que toutes les civilisations ne se valent pas si on en a la conviction, liberté de vieillir en toute quiétude dans sa propre ville et liberté de grandir en toute insouciance dans la ville qui vous a vu naître. Bref, sans sécurité pas de liberté et pas de civilisation.
Ci-dessous nous rappelons un résumé très succinct de nos propositions.
Cartographier le problème
Les quartiers à problèmes doivent être cartographiés grâce à une collaboration serrée entre la police et les habitants et ce sans les moindres tabous politiquement corrects. Cela permettra de concevoir une politique sécuritaire sur mesure soutenue par la population.
Présence policière accrue
Il faut une présence policière renforcée dans les quartiers à problèmes. Si cette présence renforcée rencontre une résistance de la part des fauteurs de troubles, alors il faudra patrouiller d’autant plus et encore renforcer le dispositif. La police doit regagner les territoires perdus.
Des peines effectives et une justice rapide
La justice doit à nouveau avoir un caractère dissuasif. Les plus petits délits doivent également être poursuivis avec toute la force nécessaire. En particulier dans les quartiers à problèmes.
Expulsion des criminels étrangers
Quasi un détenu sur deux est étranger et un détenu sur trois est illégal sur notre territoire. Qui séjourne chez nous illégalement et/ou commet des faits criminels doit être inexorablement expulsé.