Ils allaient payer nos pensions
Ils allaient soi-disant payer nos pensions. En fait les immigrés transfèrent plus d’un demi-milliard d’euros par an de Belgique vers leurs pays d’origine. En 2017, ces personnes qui résident en Belgique ont envoyé 514 millions d’euros* vers l’étranger. Selon le bureau européen de statistique Eurostat, il s’agit pour la plupart d’immigrés qui virent de l’argent à destination de leur pays d’origine.
Le montant de ces “transferts personnels” tourne depuis des années autour des 500 millions d’euros en Belgique. A peu près la moitié de ce montant part en direction de pays membres de l’Union Européenne et l’autre moitié à destination du reste du monde. Par contre, 72 millions d’euros* ont été virés de l’étranger vers la Belgique. Pour l’ensemble de l’Union Européenne, ce ne sont pas moins de 30 milliards d’euros* qui ont été transférés vers le reste du monde. Les chiffres d’Eurostat montrent que ce montant astronomique reste relativement stable depuis des années.
Ils ne nous aiment pas
Il semble évident qu’une mesure s’impose: interdire le transfert d’argent aux personnes bénéficiant chez nous d’une allocation quelconque (chômage, CPAS, maladie invalidité, aide aux personnes âgées, etc…). Il n’est absolument pas admissible que le produit de la solidarité nationale soit galvaudé au point de se transformer en source de revenus pour des personnes vivant hors du territoire national ou à tout le moins hors de l’Union Européenne. Seul le produit du travail peut se transférer librement, mais en aucun cas l’argent de l’aide sociale.
Ces chiffres montrent aussi combien cette blague de l’immigré qui va payer nos pensions est ridicule. Disons les choses comme elles sont: ils ne sont ici, pour la plupart, QUE parce qu’ils y trouvent un intérêt. Pour le reste, ils ne nous aiment pas, ils ne veulent pas respecter nos valeurs, qu’ils méprisent, et ils se moquent du tiers comme du quart de ce qu’il adviendra demain de notre vieux continent et de ses autochtones. Tant que notre pays est un véritable “win for life” pour les immigrés, ils resteront. Coupons les robinets financiers… et ils repartiront (naturalisés ou non, peu importe puisqu’ils jouissent quasi toujours de la double nationalité).
Un contrat limité dans le temps
Et que l’on cesse de nous bassiner avec des déclarations péremptoires du style: «Sans les immigrés l’économie s’effondre parce que la poursuite de toute production sera impossible sans la main-d’œuvre immigrée. Et d’ailleurs, qui va ramasser nos poubelles?». C’est une pure question d’organisation et enfin, il faudra bien que cette Union européenne et sa “libre circulation des biens et des personnes” serve à quelque chose un jour tout de même! Et même sans passer par l’Union Européenne, rien n’empêche de signer des accords de transfert de main-d’œuvre entre pays libres et souverains, sans que cela implique le regroupement familial ou la possibilité de naturalisation. Tout simplement sur base d’un contrat limité dans le temps, éventuellement renouvelable avec obligation de retour vers le pays d’origine en fin de contrat. C’est une autre philosophie qui n’a rien de suicidaire comme celle qui prévaut aujourd’hui et qui a le mérite d’être appliquée ailleurs dans le monde sans le moindre problème. Que ces travailleurs-là transfèrent le produit de leur travail vers leurs familles au pays, qui s’en formalisera ? Chacun fait ce qui lui plaît avec l’argent gagné à la sueur de son front.
*Infos publiées par Het Laatste Nieuws sur son site web le 15 novembre 2017