L’islamisation par le port du voile se poursuit
Le Vlaams Belang est outré de la récente condamnation de l’asbl Moeders voor Moeders parce que cette association interdit le port du foulard islamique dans les zones communes de ses locaux. «C’est la énième fois qu’un juge progressiste, hors de la réalité des choses, rend un jugement d’ordre politique» déclare le député Dries Van Langenhove. «Une génuflexion de plus devant l’islam» renchérit le député flamand et leader du Vlaams Belang à Anvers Sam van Rooy.
L’asbl Moeders voor Moeders est une association de bénévoles engagés dans l’aide sociale à Borgerhout. Elle aide les mères et les pères célibataires dans le besoin. L’aide peut comprendre des colis alimentaires, des vêtements pour enfants, des jouets, du matériel pour bébé, etc. Les personnes nécessiteuses peuvent également faire réparer leurs vêtements et même consulter un médecin. «L’’asbl a été citée à comparaître par des activistes de gauche et UNIA parce qu’elle ne veut pas autoriser le port du foulard dans certaines espaces des bâtiments» rappelle Dries Van Langenhove. Et dire que l’UNIA reçoit chaque année pas moins de 2,7 millions d’euros pour harceler des bénévoles idéalistes qui se mettent au service de leur prochain. Quelle honte!
L’enseignement de l’islam et les leaders musulmans donnent eux-même la signification du port du voile: Le foulard représente le totalitarisme, l’oppression des femmes et la haine contre l’Occident.
Le Vlaams Belang comprend très bien la décision de l’asbl d’y interdire le port du voile dans certains espaces de leurs locaux. Pour le parti, le foulard islamique n’est pas un simple bout de chiffon. C’est un symbole d’oppression qui va à l’encontre du principe d’égalité des droits que les femmes ont acquis dans notre société occidentale. Dans une très large mesure, les porteurs de foulard sont des femmes qui y sont forcées ou qui sont complètement endoctrinées. Et les femmes ou les filles qui choisissent délibérément de porter le foulard expriment ainsi leur total mépris pour leurs sœurs opprimées et pour notre société libre.
Le jugement du tribunal de première instance d’Anvers du 7 janvier est une insulte à la liberté des femmes et à leurs droits fondamentaux. Ce verdict hors-sol montre surtout qu’il n’appartient pas aux juges de déterminer les politiques à mener, sur le foulard comme sur l’ensemble de la gestion de la société. Ce sont les femmes et les hommes politiques qui ont été choisis par les électeurs pour ce faire. Entre-temps, Sam Van Rooy a proposé à l’asbl de payer ses frais de justice qui s’élèvent à 1.440 euros. Un petit geste de solidarité pour des gens formidables qui se mettent au service des autres, malgré certains juges qui veulent accaparer le champ politique et leur imposer une idéologie.