Villes les plus sûres: Bruxelles à la 293ème place!
La Dernière Heure publiait très récemment le classement des villes les plus sûres du monde. Il n’étonnera personne que la Belgique ne se trouve pas dans le peloton de tête des villes les plus sécurisées. Par exemple Gand est à la 49ème place, Liège à la 242ème et Bruxelles à la 293ème.
C’est la base de données participative sur les villes et les pays du monde, Numbeo, qui vient de publier son nouveau classement des villes les plus sûres du monde pour 2020. Numbeo est la plus grande base de données sur le coût de la vie au monde. Elle est également une base de données mondiale d’informations sur la qualité de vie, y compris les indicateurs de logement, les taux de criminalité et la qualité des soins de santé, parmi de nombreuses autres statistiques.
Les 563. 091 contributeurs de Numbeo ont rassemblé les données de cette enquête qui se base aussi sur des données réunies à partir de sources autorisées (sites web de supermarchés ou d’entreprises de taxis, institutions gouvernementales, articles de journaux, etc.).
C’est Abou Dabi, la capitale des Emirats arabes unis, qui se trouve en première position sur les 431 villes présentes dans le classement, avec un indice de sécurité de 88,46%. La pire ville du monde sur le plan de la sécurité est la capitale du Venezuela, Caracas, avec un indice de sécurité de 15,32%.
Pour ce qui est de l’Europe, c’est Zurich qui se trouve en tête des villes les plus sûres avec une 7ème position. Bruxelles, notre capitale mais aussi la capitale de l’Europe, se trouve à une lamentable 293ème position. Qui s’en étonne? Certainement pas les Bruxellois et le Vlaams Belang.
Le Vlaams Belang est le SEUL Parti politique qui défend une vision de la sécurité plus à l’écoute des vrais Bruxellois et donc globalement plus répressive. Le Vlaams Belang ne demande pas une politique de la sécurité plus répressive par plaisir, mais bien parce que les partis politiques du système qui se sont succédé dans les majorités politiques bruxelloises ont toujours choisi le laxisme et le laisser aller pour ne pas heurter leur nouvel électorat, ce qui nous oblige aujourd’hui à exiger une politique plus coercitive pour réparer les dégâts.